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Mis à jour: 5 juin 2025
Les forçats se volaient mutuellement sans pudeur. Chaque détenu avait son petit coffre, muni d'un cadenas, dans lequel il serrait les effets confiés par l'administration. Quoiqu'on eût autorisé ces coffres, cela n'empêchait nullement les vols. Le lecteur peut s'imaginer aisément quels habiles voleurs se trouvaient parmi nous. Un détenu qui m'était sincèrement dévoué, je le dis sans prétention, me vola ma Bible, le seul livre qui fût permis dans la maison de force; le même jour, il me l'avoua, non par repentir, mais parce qu'il eut pitié de me voir la chercher longtemps. Nous avions au nombre de nos camarades de chaîne plusieurs forçats, dits «cabaretiers», qui vendaient de l'eau-de-vie, et s'enrichissaient relativement
Quand le calme s'établit, l'oisiveté développe toutes les passions des habitants d'un vaisseau, fait naître tous les besoins superflus, et les querelles pour se les procurer. Les soldats voulaient manger le double, et se plaignaient; les plus avides vendaient leurs effets ou en faisaient des loteries; d'autres, encore plus pressés de jouir, jouaient, et perdaient plus en un quart d'heure qu'ils ne pouvaient payer en toute leur vie: après l'argent venaient les montres; j'en ai vu six ou huit sur un coup de dés. Lorsque la nuit faisait trêve
Les difficultés assiégeaient de toutes parts la Convention. La dépréciation des assignats amenait chaque jour renchérissement des vivres. Le gage du papier-monnaie était les biens des émigrés, mais ces biens ne se vendaient pas ou se vendaient mal. On payait l'
Il y avait des esclaves, prisonniers de guerre, débiteurs insolvables ou gens qui se vendaient pour vivre; mais le paysan était libre de se transporter ou bon lui semblait, lui et sa famille, de servir tel boyard ou tel autre; comme le boyard pouvait servir tel prince ou tel autre.
Ces auteurs leur vendaient leurs ouvrages dix écus pièce.
À Paris, on voyait autrefois des marchands ambulants qui vendaient les balais qui avaient été fabriqués dans les forêts voisines. Les graveurs, qui ont laissé de si curieuses séries sur les petits métiers, ne les ont pas oubliés (p. 12 et 13), et l'on a conservé plusieurs des cris par lesquels ils s'annonçaient. Au XVIe siècle, voici leur quatrain dans les Crys d'aucunes marchandises qui se vendent
Des gardiens, en turban rouge, sabre au côté, occupant les dernières marches des ghâts, exigeaient le tribut, en compagnie d'industrieux brahmanes, qui vendaient des chapelets, des amulettes ou autres ustensiles de piété.
Les brigands dévastaient les deux parcs de Chantilly et en vendaient publiquement le gibier. Ils tuèrent deux officiers des chasses de M. le prince de Condé et blessèrent si gravement M. de Bonneval, officier du régiment de Berry, qui était venu
Comprachicos, de même que comprapequenos, est un mot espagnol composé qui signifie «les achète-petits». Les comprachicos faisaient le commerce des enfants. Ils en achetaient et ils en vendaient. Ils n'en dérobaient point. Le vol des enfants est une autre industrie. Et que faisaient-ils de ces enfants? Des monstres. Pourquoi des monstres? Pour rire. Le peuple a besoin de rire; les rois aussi.
Ce Roux était un prêtre défroqué qui dès le premier jour avait décrié la Constitution et qui avait donné le conseil d'assassiner les marchands, les boutiquiers, parce qu'ils vendaient trop cher leurs denrées. Dénoncé par Marat vivant comme un saltimbanque, il avait trouvé le moyen de le voler dans sa tombe.
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