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Un événement non moins important se passait dans la Lozère; c'était la soumission de trente mille révoltés, qui auraient pu communiquer avec les Vendéens, ou avec les Espagnols par le Roussillon.

En effet, pendant six années consécutives, les pays cités par Vasseur avaient été le théâtre de cette lutte sanglante qu'on a appelée: «Une guerre de géants», guerre sans pitié ni merci des chouans et des Vendéens contre les troupes de la République, et qui, depuis quelques mois seulement, avaient pris fin sous les derniers coups du général Brune.

Lorsque les Vendéens étaient près d'attaquer l'ennemi, ils s'agenouillaient et recevaient la bénédiction d'un prêtre: la prière prononcée sous les armes n'était point réputée faiblesse, car le Vendéen qui élevait son épée vers le ciel demandait la victoire et non la vie.

La plus belle armée de la République investie dans Mayence; Valenciennes assiégée; Fontenay pris par les Vendéens; Lyon révolté; les Cévennes insurgées, la frontière ouverte aux Espagnols; les deux tiers des départements envahis ou soulevés; Paris sous les canons autrichiens, sans argent, sans pain.

Pas du tout, remarquait un homme instruit. Au 13 vendémiaire, il n'y avait que des royalistes, et la preuve c'est que les trois colonnes qui marchaient sur la Convention étaient commandées par deux généraux vendéens, Lafont et Dahican. C'est juste! observèrent plusieurs voix.

Il faut que cette dernière résistance des Vendéens ait été bien héroïque. Long-temps après ce triste moment, j'ai lu dans les gazettes du temps, et avec une sorte d'orgueil, le passage suivant d'une lettre qu'un des généraux républicains écrivait

Les républicains, qui souffraient aussi de la chaleur, ne poursuivirent pas, et les Vendéens perdirent peu de monde au combat; mais la soif et la chaleur firent périr une cinquantaine de paysans, qui imprudemment burent avec avidité des eaux corrompues.

La masse des combattants vendéens se divisait en trois classes. La première se composait de gardes-chasse, de braconniers, de contrebandiers, tous ayant une grande habitude des armes, pour la plupart tireurs excellents, et en grande partie armés de fusils

Les vingt-deux Vendéens désignés pour la retraite sortirent de l'enceinte du château, par derrière, sans être aperçus de leurs ennemis. Mais le commandant Georges les vit tout

Une suspension d'armes avait été signée avec les Vendéens, des pourparlers entamés avec eux, et cependant la pacification n'avançait pas. Le général Bonaparte avait laissé peu de doutes aux royalistes, qui s'étaient adressés