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Mis à jour: 23 juillet 2025


On avait défendu aux paysans de conduire des bestiaux aux marchés, dans les villes qui n'étaient pas au pouvoir des Vendéens. M. de Lescure sut que, malgré cet ordre, les marchés de Parthenay étaient fort bien approvisionnés; il y fit une excursion, et tous les bestiaux qui étaient en vente furent saisis et envoyés

Oui, reprit un autre. Ils doivent avoir chaud! Pauvres gens! murmura un sergent en mâchant sa moustache grise. Les soldats étaient impressionnés malgré eux. Les gars breton, eux, frémissaient. Chaque instant passé pouvait tuer les Vendéens. La phrase du soldat: « Ils doivent avoir chaudprenait pour eux une épouvantable signification.

Les Vendéens étaient donc incapables de concevoir et d'exécuter un plan quelconque. Ils avaient quitté la Loire depuis vingt-six jours; et, dans un aussi long espace de temps, ils n'avaient rien fait du tout. Après beaucoup d'incertitudes, ils prirent enfin un parti. D'une part, on leur disait que Rennes et Saint-Malo étaient gardés par des troupes considérables; de l'autre, que Cherbourg était fortement défendu du côté de terre; ils se décidèrent alors

Telles étaient les causes qui rendaient les coalisés si malhabiles et si timides, les Vendéens si bornés, les fédéralistes si incertains, et qui devaient assurer le triomphe de la convention sur les révoltes intérieures et sur l'Europe. Les montagnards, animés seuls d'une passion forte, d'une pensée unique, le salut de la révolution, éprouvant cette exaltation d'esprit qui découvre les moyens les plus neufs et les plus hardis, qui ne les croit jamais ni trop hasardeux, ni trop coûteux, s'ils sont salutaires, devaient déconcerter, par une défense imprévue et sublime, des ennemis lents, routiniers, décousus, et étouffer des factions qui voulaient de l'ancien régime

Pendant ce temps, les chefs vendéens délibéraient

Les Vendéens combattirent avec courage, et le succès ne fut pas un instant douteux; mais l'ennemi se défendit avec tant d'opiniâtreté que le combat dura quinze heures: il se termina par la déroute complète des bleus qui perdirent un monde prodigieux. On les poursuivit jusque dans Antrain, et ce fut dans la ville même qu'eut lieu le plus grand massacre.

D'abord, on ne laisserait pas aux paysans vendéens le temps de se démoraliser par suite de l'échec subi

Peu de chefs vendéens ont laissé une mémoire aussi chérie que M. de Marigny. Il avait pour le pays tant de ménagemens, et s'occupait tellement des moyens de le mettre

Les Vendéens haïssent le service militaire, qui les éloigne de chez eux.

Tout le monde dans cette journée avait fait son devoir. La garde nationale avait rivalisé avec les troupes de ligne, et le maire lui-même reçut une blessure. Le lendemain, les Vendéens se jetèrent dans des barques, et rentrèrent dans l'intérieur du pays. Dès ce moment, l'occasion des grandes entreprises fut perdue pour eux; ils ne devaient plus aspirer

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