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Mis à jour: 6 mai 2025
C'était un singulier spectacle que cette marche de l'armée vendéenne: on formait une avant-garde assez nombreuse, et on lui donnait quelques canons; la foule venait après, sans aucun ordre, et remplissait tout le chemin. On voyait l
Les républicains suivaient de près l'armée vendéenne. Je m'arrêtai un instant dans une ferme avec ma mère, pour demander
Surdité terrible. L'insurrection vendéenne est un lugubre malentendu.
En même temps des chapeaux sautaient en l'air, des sabres tournoyaient joyeusement, et l'on voyait dans tout le taillis se dresser des bâtons au bout desquels s'agitaient des bonnets de laine brune. Ce qu'il avait autour de lui, c'était une bande vendéenne. Cette bande s'était agenouillée en le voyant.
Dans les premiers mois de la guerre, avant que les atrocités des républicains eussent inspiré quelque faible désir de vengeances et de représailles, l'armée vendéenne était aussi touchante par ses vertus qu'admirable par son courage; aucun des désordres qui accompagnent les guerres, ne souillait la victoire des royalistes.
Ce fut ainsi qu'arriva dans la Vendée cet évêque d'Agra, qui a joué un si grand rôle et qui est devenu si célèbre dans l'histoire de la guerre. Ce qu'il y a de plus singulier, c'est que cet homme trompa toute l'armée vendéenne, sans qu'on puisse deviner quels étaient son but et ses projets. Tout ce qu'il avait raconté était faux. L'abbé Guyot de Folleville avait d'abord,
Du reste, la république avait raison de s'inquiéter de ce marquis de Lantenac. A peine débarqué, il faisait trembler. Son nom avait couru dans l'insurrection vendéenne comme une traînée de poudre, et Lantenac était tout de suite devenu centre. Dans une révolte de cette nature où tous se jalousent et où chacun a son buisson ou son ravin, quelqu'un de haut qui survient rallie les chefs épars égaux entre eux. Presque tous les capitaines des bois s'étaient joints
Bien, très bien, ma bonne mère! vous allez la voir. Et Louise?... Votre soeur... très bien aussi; mais vous ne la verrez pas ici. Elle est... partie. Partie!... où? comment? Avec sa vieille parente, madame de Montifault, la Vendéenne, la chouanne irréconciliable!
Kléber, qui dirigeait toujours l'armée par ses conseils, quoiqu'un autre en fût le chef, propose, pour achever la destruction de la colonne vendéenne, de la bloquer, et de la faire périr de faim, de maladie et de misère. Les débandades étaient si fréquentes dans les troupes républicaines, qu'une attaque de vive force présentait des chances dangereuses. Au contraire, en fortifiant Antrain, Pontorson, Dinan, on enfermait les Vendéens entre la mer et trois points retranchés; et en les faisant harceler tous les jours par Westermann et Marigny, on ne pouvait manquer de les détruire. Les représentans approuvent ce plan, et les ordres sont donnés en conséquence. Mais tout
On était convenu que le lendemain toute l'armée vendéenne attaquerait les Mayençais dans leur retraite. Ils avaient formé
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