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Mis à jour: 18 juillet 2025


Alors, ou peut-être antérieurement, les tribus ibériennes des Sicanes et des Ligures passèrent d'Espagne en Gaule et en Italie; mais en Italie, comme en Espagne, les Galls les attaquèrent. Ceux-ci franchirent les Alpes sous le nom d'Ambra (vaillants), resserrèrent les Ligures sur la côte montagneuse du Rhône

Dans l'Europe orientale, son esprit anime encore les tronçons de l'empire des Huns; plusieurs de ses fils se montrent vaillants hommes, et sa gloire ouvre aux derniers bans des nations hunniques un chemin facile vers le Danube. Elles s'y succèdent pendant trois siècles presque d'année en année, sous les noms d'Outigours, Koutrigours, Avars, Bulgares, Khazars, jusqu'

Qui peut dire combien d'hommes et de vaisseaux sauvent les phares? La lumière, vue dans ces nuits horribles de confusion, les plus vaillants se troublent, non-seulement montre la route, mais elle soutient le courage, empêche l'esprit de s'égarer. C'est un grand appui moral de se dire dans le danger suprême: «Persiste! encore un effort!... Si le vent, la mer, sont contre, tu n'es pas seul; l'Humanité est l

La situation devenait claire. M. de Montalivet se retira. M. de La Fayette écrivit au Roi «qu'il se regardait comme ayant donné sa démissionLe Roi lui répondit aussitôt «qu'en le regrettant bien vivement, il allait prendre des mesures pour remplir le vide qu'il aurait voulu prévenirIl était plus de minuit; M. de Montalivet convoqua au Palais-Royal les colonels des légions de la garde nationale, leur raconta les exigences et la retraite définitive de M. de La Fayette, et assuré de leur adhésion, il se rendit sur-le-champ chez l'un des plus vaillants et plus honorés chefs de l'armée, le général comte de Lobau, pour lui annoncer l'intention du Roi de lui confier le commandement supérieur de la garde nationale de Paris: «Laissez-moi tranquille, lui dit le vieux soldat aussi modeste que brave, je n'entends rien aux gardes nationaux. Comment! vous n'y entendez rien quand il s'agit, dès ce matin peut-être, de bataille et de péril? Ah! si c'est de cela qu'il s'agit,

Et puis il y a autre chose que je compte pour un grand profit: elle m'a porté huit enfants, dont il me reste sept, tous bien fiers, bons droles, vaillants et sachant se retourner.

Mais, pour les vaillants du travail intellectuel, pour les archivistes, les chroniqueurs, les historiens, pour ceux-l

Le vainqueur alors de jeter dans le combat ces paroles au monarque, semblable au serpent désarmé de poison, la splendeur éteinte, sa gloire effacée, l'aigrette de son diadème emportée, tel enfin que le soleil quand il n'a plus sa lumière: «Tu viens d'exécuter un grand, un bien difficile exploit; ton bras m'a tué mes plus vaillants guerriers: aussi pensé-je que tu dois être fatigué, et c'est pourquoi mes flèches ne t'enverront pas aujourd'hui dans les routes de la mort

A côté de ces grandes oeuvres, voici une foule d'études spéciales: tandis que d'excellents érudits écrivent l'histoire de leur ville natale ou la vie de ses grands hommes, M. Ropartz, la Vie de saint Yves, patron de la Bretagne, l'Histoire de Guingamp et celle des Missionnaires et Fondateurs d'ordres religieux en Bretagne; M. l'abbé Mouillard, la Vie de saint Vincent Ferrier; M. de La Bigne-Villeneuve, l'Histoire de Rennes, et M. Cunat, de Saint-Malo, la Biographie de ces marins magnanimes, de ces vaillants corsaires, Suffren, Surcouf, du Guay-Trouin, qui s'élançaient, comme des milans de leur aire, de ce port fatal aux Anglais; d'autres approfondissent les questions les plus difficiles et les plus ardues: M. A. de Blois, de Quimper, les Origines du droit breton; M. A. de Courson, le Cartulaire de Redon; M. du Fougeroux, de Fontenay, les Premiers temps de l'Histoire du Poitou. M. Marteville, de Rennes, publie une nouvelle édition de l'ouvrage classique sur la Bretagne, le Dictionnaire d'Ogée; et,

Et pendant tout le temps qu'ils luttèrent, combattirent, noircis par la poudre, desséchés par la soif, versant leur sang comme s'il eût été de l'eau, l'homme qui s'appelait leur Roi, éperonnait son cheval, traversait la campagne, la bride sur le cou de sa monture, le coeur palpitant, n'ayant plus que l'unique pensée de sauver son cou, sans se demander ce qu'il adviendrait de ses vaillants partisans.

La terre d'Alsace n'est qu'un vaste champ funèbre, sont couchés les vaillants dont le courage, vainement, se dépensa pour la défendre et la conserver

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