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Mis à jour: 3 juin 2025
Citoyens français et belges, en face des tyrans, levons haut les nationalités; en présence de la démocratie, inclinons-les. La démocratie, c'est la grande patrie. République universelle, c'est patrie universelle.
La lettre était longue. Le Premier Consul y discutait avec l'éloquence qui lui était propre, et un langage qui n'était pas celui de la diplomatie, les motifs que la France et l'Autriche pouvaient encore avoir de rester armées l'une contre l'autre. Est-ce pour la religion que vous combattez? lui disait-il. Mais faites alors la guerre aux Russes et aux Anglais, qui sont les ennemis de votre foi, et ne soyez pas leur allié! Est-ce pour vous garder des principes révolutionnaires? Mais la guerre les a propagés dans une moitié du continent, en étendant les conquêtes de la France, et ne pourra que les propager davantage. Est-ce pour l'équilibre de l'Europe? Mais les Anglais menacent plus que nous cet équilibre; car ils sont devenus les maîtres et les tyrans du commerce, et personne ne peut plus lutter contre eux, tandis que l'Europe pourra toujours contenir la France, si elle voulait sérieusement menacer l'indépendance des nations. (Raisonnement malheureusement bien juste, et que quinze ans de guerre n'ont que trop justifié.) Est-ce, ajoutait le diplomate guerrier, est-ce pour l'intégrité de l'Empire germanique? Mais Votre Majesté nous a livré elle-même Mayence et les
La honte et le chagrin? C'est aux tyrans de Venise
Sévère ennemi des tyrans, tu votas courageusement la mort de celui qui avait osé comploter celle de tout un peuple; un fanatique te frappa, et son glaive homicide déchira tous nos coeurs; ses remords nous vengèrent, il devint lui-même son bourreau: ce n'était point assez... Scélérat! que ne pouvons-nous immoler tes mânes. Ah! ton arrêt est dans le coeur de tous les Français. Citoyens, s'il était des hommes parmi vous qui ne fussent pas encore assez pénétrés des sentiments que le patriotisme doit
Les premières années de la guerre, les Corses n'eurent aucune forme de gouvernement: la haine des tyrans guidoit tout le monde. Ce ne fut qu'
Le timide Bazire fait observer que la question étant délicate a besoin d'être mûrement discutée. «Et qu'est-il besoin de discuter, reprend Grégoire avec enthousiasme, quand tout le monde est d'accord? Les rois sont dans l'ordre moral ce que les monstres sont dans l'ordre physique. Les cours sont l'atelier des crimes et la tanière des tyrans. L'histoire des rois est le martyrologe des peuples.»
Scévole, Brutus, votre seul mérite fut de vous armer un moment pour trancher les jours de deux despotes, une heure au plus votre patriotisme a brillé; mais toi, Marat, par quel chemin plus difficile tu parcourus la carrière de l'homme libre! Que d'épines entravèrent ta route avant que d'atteindre le but. C'était au milieu des tyrans que tu nous parlais de liberté; peu faits encore au nom sacré de cette déesse, tu l'adorais avant que nous la connussions; les poignards de Machiavel s'agitaient en tout sens sur ta tête sans que ton front auguste en parût altéré; Scévole et Brutus menaçaient chacun leurs tyrans: ton âme, bien plus grande, voulut immoler
Ils payeront d'abord, tous ces brigands engraissés, tous ces tyrans. Et ils y passeront ensuite comme les autres, n'est-ce pas? Cela va sans dire. A quoi cela servirait-il de les garder quand ils n'auront plus de plumes aux ailes? Faut bien purger le pays! Partons alors. Partons!
Oui! dit-il, c'est notre destinée d'être jugés comme cela! Nous avons assumé sur nous tous les reproches, toutes les malédictions, toutes les hontes de la Révolution. Je le sais, je le sais! Nous serons des infâmes, des bêtes féroces, des tyrans, pour avoir voulu sauver la France. Notre châtiment est commencé! le peuple,
Il faut savoir prendre son parti sur les chagrins ; ils rendent malade, et l'amour ne reste pas long-temps sur un lit de douleur. La mélancolie donne bien d'abord une certaine grâce qui plaît ; mais elle finit par allonger les traits et flétrir la plus ravissante de toutes les figures. Ensuite, nos tyrans ont l'amour-propre de vouloir que leurs esclaves soient toujours gaies.
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