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Mis à jour: 21 mai 2025


Mardi 28 décembre. Au dîner des Spartiates de ce soir, le général Turr rappelait cette parole du juif Mirès, parole

Les Garibaldiens passèrent donc cette première nuit comme ils purent, les uns dans les églises métamorphosées pour l'instant en casernes de passage, les autres dans les maisons; beaucoup restèrent dans les rues. Sous le beau ciel de la Sicile, ce n'étaient pas les plus mal partagés. Le matin du 12, vers trois heures, les premiers éveillés parmi les habitants purent les voir capeler leurs petites sacoches, essuyer leurs fusils, ternis par l'humidité qui, même dans les plus beaux jours, règne sur le littoral de la mer, puis s'acheminer vers la porte de Calatafimi les compagnies se reformèrent, attendant l'ordre du départ. A quatre heures, le mouvement commençait, et les érudits de la bande pouvaient s'écrier comme César: Alea jacta est! Les colonels Bixio, Orsini, Türr, Carini, etc., marchaient en tête de leurs régiments ou plutôt de leurs petits bataillons. L'artillerie se composait de deux ou trois pièces assez mal outillées, encore plus mal attelées; les munitions étaient rares, presque nulles. Quant

Cette division traversa la ville de Palerme et prit la route de Missilmeri, qui devait être sa première étape. A son passage dans les rues, il y eut un vrai moment d'enthousiasme. C'est que l'on comprenait que c'étaient ces volontaires qui allaient décider en définitive du sort de la Sicile. Ils marchaient au-devant des troupes royales, et devaient relever sur leur route le drapeau de l'ordre renversé en plusieurs endroits, et planter les couleurs italiennes sur les derniers points de la Sicile occupés par les troupes napolitaines. Le général Türr, qui les commandait, emportait avec lui toutes les sympathies de la population palermitaine. Malheureusement la maladie devait bientôt l'arracher, pour quelque temps,

Mais le général Türr, commandant le Faro, s'était hâté de répondre

Salerne fut menacée le lendemain 5, par les brigades Bixio, Ehber, Türr, etc. S'attendant

La place des Quatre-Cantons était devenue désormais la base des opérations de Garibaldi. Le général Türr occupait le palais du Sénat. L'état-major de Garibaldi était partout et se multipliait pour faire face aux exigences de la position. On commence

Cette dernière était beaucoup moins forte que celle du général Türr. Elle comptait tout au plus quinze cents hommes, mais presque tous hommes faits et soldats. Il y avait bien, par-ci par-l

Comme il n'y avait plus de police, plus de soldats et presque plus de municipalité, ces espiègleries se commettaient tranquillement et paraissaient devoir rester impunies. Depuis le départ des Napolitains, on avait organisé quelques régiments; on les forma alors en brigades. Le général Türr prit le commandement de la première division, qui devait traverser la Sicile en passant par Girgenti, Caltanisetta, puis gagner Catane. La seconde, commandée par le général Bixio, devait suivre aussi la route de l'intérieur, mais par la montagne. La troisième, sous les ordres du général Medici, devait prendre la route maritime de Palerme

Le lendemain de cette revue, le général Türr revenait

Dans les derniers jours de juin, vers les quatre heures du soir, la division du général Türr se formait en bataille sur la place du Palazzo-Reale, le général Garibaldi la passait en revue, et, vers les sept heures, elle se mettait en marche avec une section de pièces de campagne, une d'obusiers de seize pouces et quelques caissons de munitions; les caissons étaient représentés par de simples charrettes ornées de petits pavillons. Toute cette division avait néanmoins bonne tournure. Un grand laisser-aller dominait, mais on trouvait énormément de bonne volonté. On y remarquait surtout avec plaisir un superbe bataillon de chasseurs

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