Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 10 mai 2025


Le Code Napoléon, qui nous régit encore, date de 1804. C'est le 21 mars de cette année qu'une loi réunit sous le titre de «Code civil des Français» un ensemble de lois sur les matières civiles qui, rédigées par une commission composée de Tronchet, Bigot de Préameneu, Malleville et Portalis, puis approuvées par le Tribunat, avaient été successivement promulguées et rendues exécutoires, sous forme de décrets rendus par Bonaparte, au fur et

J'avais neuf ans. C'était en 1864, au mois de juin, par une brûlante et claire fin d'après-midi. Comme d'ordinaire, je travaillais dans ma chambre, au retour du lycée Bonaparte, toutes persiennes closes. Nous habitions rue Tronchet, auprès de la Madeleine, dans la septième maison

Et Adeline se dirigea vers un des coupés dont il ouvrit la portière. A ce moment, plusieurs joueurs descendant du cercle arrivaient sur le trottoir. Rue Tronchet, dit Adeline en refermant la portière. Le coupé partit, laissant Salzman ébahi; sous les yeux des joueurs qu'il sentait sur lui, il n'avait pu ni rien ajouter, ni retenir Adeline.

À côté de ces vues grandes ou bienfaisantes, se développaient des vues d'un autre genre, et qui avaient pour objet une création bien autrement utile, celle du Code civil. Le Premier Consul avait chargé de la rédaction de ce code plusieurs jurisconsultes éminents, MM. Portalis, Tronchet, Bigot de Préameneu. Leur travail était achevé, et venait d'être communiqué au tribunal de cassation, ainsi qu'aux vingt-neuf tribunaux d'appel, depuis cours royales. L'avis de toute la magistrature ainsi recueilli, le travail allait être soumis au Conseil d'

MM. Tronchet, Duport et d'André, nommés commissaires pour recevoir les déclarations du Roi et de la Reine, se rendirent chez le Roi, le dimanche 26 juin, lendemain de son arrivée,

Quelques heures plus tard, M. Desrousseaux, notre commissaire de police, apprenait par le concierge du numéro 75 de la rue Tronchet que M. René d'Hastry, qui s'était effectivement donné la mort dans cette maison l'année précédente, avait laissé une veuve et trois enfants, et que cette dame, ruinée après le suicide de son mari... une petite dame bien courageuse, bien méritante... avait déménagé et habitait maintenant tout en haut du faubourg Saint-Honoré, au numéro 297.

Mot du Jour

délayez

D'autres à la Recherche