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Mis à jour: 30 juin 2025
M. Triphon, lui, était loin de se sentir
M. Triphon ne savait plus trop que faire. Il était encore sous le coup des émotions violentes et rapides par lesquelles il venait de passer. Violemment,
M. Triphon s'en alla prudemment avec Kaboul faire un tour au jardin. Le cher printemps allait venir....
Et il posa sa fourchette. M. de Beule leva les yeux dans la direction de son fils et ses sourcils se contractèrent d'un air revêche. M. Triphon tressaillit. «Saurait-il tout de même quelque chose?» se demanda-t-il. Mais il se remit promptement. M. de Beule, son assiette garnie pour la seconde fois, se remit
Ah! fit Raoul sur un ton glacial. */ M. Triphon leva les yeux d'un air ennuyé. Ce roman, quel intérêt ça pouvait-il avoir? Son roman
M. Triphon secoua énergiquement la tête, comme pour se débarrasser d'un joug insupportable. «Je n'irai pas! Je n'irai pas!» se dit-il
Après cette deuxième rencontre avec les trois demoiselles Dufour, le reste de la journée n'avait plus grand intérêt pour M. Triphon. De même que pour les ouvriers de l'usine, les dernières heures l'envahissaient d'une sorte de torpeur morose. Il déambulait par ci par l
Il éclata, et, bien qu'attendu, plus brusquement et avec plus de violence que M. Triphon n'eût pensé. Il éclata un dimanche soir, au moment où M. Triphon sortait pour aller voir Sidonie. Accompagné de Kaboul, il avait déj
Le coeur de M. Triphon battait
Pas de chance pour M. Triphon, l'époque de la fenaison! Aucun espoir de pincer dans les coins la jolie Sidonie. L'équipe restait toujours groupée et il était absolument impossible de s'isoler
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