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Mis à jour: 19 mai 2025


L'on prétend que Melle Virginie s'est perfectionnée dans son art sous la direction de M. Perennès, célèbre professeur français du siècle passé. En tout cas, elle a laissé une grande réputation comme tragédienne. Le fait est que notre public bien informé lui accorde une place unique dans l'histoire de notre théâtre d'amateurs. Elle a brillé surtout au Théâtre de la Renaissance.

Des Livres, Autographes Gravures, Dessins, Meubles et Curiosités provenant de Mlle GEORGE, tragédienne, et de feu M. TOM HAREL, ancien directeur de théâtre, et dont la vente aura lieu, hôtel Drouot, salle 8, le samedi 31 janvier 1903,

A seize ans, George faisait pleurer la vieille Dumesnil, en lui récitant des tirades de Clytemnestre. Son professeur, Mlle Raucourt, qui était elle-même une grande tragédienne et une femme d'esprit, jugeait que le talent de son élève l'appelait

A chaque création nouvelle, grandissait mon admiration pour la grande tragédienne, maîtresse de toutes les cordes du clavier humain, et mon adoration pour la belle artiste ... Je ne suis pas belle, Monsieur.

«Jamais, disait-il, la belle partition de Spontini n'a été rendue avec un pareil ensemble par les masses, ni avec une inspiration aussi véhémente par les acteurs principaux. Madame Branchu, entre autres, s'est élevée au plus haut degré du pathétique; cantatrice habile, douée d'une voix incomparable, tragédienne consommée, elle est peut-être le sujet le plus précieux dont ait pu s'enorgueillir l'Opéra depuis sa fondation; n'en déplaise aux partisans exclusifs de la Saint-Huberti. Madame Branchu est petite, malheureusement; mais le naturel de ses poses, l'énergique vérité de ses gestes et le feu de ses yeux, font disparaître ce défaut de stature; et dans ses débats avec les prêtres de Jupiter, l'expression de son jeu est si grandiose, qu'elle semble dominer le colosse Dérivis de toute la tête. Hier, un entr'acte fort long a précédé le troisième acte. La raison de cette interruption insolite dans la représentation, était due

Une voix qui, parfois, tourne, se dérobe en son de petite flûte, en fausset de petit enfant, et c'est alors qu'elle est le plus adorablement impayable, ma sérieuse tragédienne. Jeudi, 17 octobre.

Les deux premières pleuraient un peu trop constamment; mais elles me semblaient, surtout la cadette, plus tragédienne que madame Vestris, qui, toute belle qu'elle était, n'a jamais obtenu de grand succès, si ce n'est dans le rôle de Gabrielle de Vergy l'effet qu'elle produisait au dernier acte, était déchirant; il faut dire aussi que cette scène est horrible.

Je n'aurais plus souhaité comme autrefois de pouvoir immobiliser les attitudes de la Berma, le bel effet de couleur qu'elle donnait un instant seulement dans un éclairage aussitôt évanoui et qui ne se reproduisait pas, ni lui faire redire cent fois un vers. Je comprenais que mon désir d'autrefois était plus exigeant que la volonté du poète, de la tragédienne, du grand artiste décorateur qu'était son metteur en scène, et que ce charme répandu au vol sur un vers, ces gestes instables perpétuellement transformés, ces tableaux successifs, c'était le résultat fugitif, le but momentané, le mobile chef-d'oeuvre que l'art théâtral se proposait et que détruirait en voulant le fixer l'attention d'un auditeur trop épris. Même je ne tenais pas

Comme on déclame en pays étranger, devant un peuple curieux, les balbutiements d'un écolier de rhétorique, on a applaudi la magique beauté, le geste neuf et pathétique, la sublime diction de la tragédienne; mais la tragédie?

Non, ce n'était pas Sarah Bernhardt... La belle tragédienne s'ennuyait donc, comme on peut s'ennuyer

Mot du Jour

sainte-rose

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