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Mis à jour: 31 août 2025
À six heures du matin, je me traînai jusqu'
Je traînai ensuite jusqu'
[p.119] D'un olivier sous la ramure ; 1839 Cette fois large est la blessure. Longtemps je gis sans remuer, Et quand je peux m'évertuer Je prends la flèche pour l'extraire; Mais pour rien que je pusse faire, Le dard en mon flanc est resté, Et j'ai le fût tout seul ôté. Sur mon séant lors je me dresse, Dévorant ma sombre tristesse; Je vois qu'il me faut moult souffrir, Car la plaie accroit mon désir De cueillir la divine rose; Et cependant l'archer dispose Encore un trait de grand'beauté. Je dus bien être épouvanté, Car échaudé l'eau froide avise; Ce quatrième a nom Franchise. Mais de rien n'étais soucieux, Et devant moi j'aurais des cieux Vu pleuvoir flèches pêle-mêle, Glaives, rochers, dru comme grêle, J'eusse voulu la rose avoir. D'Amour le suprême pouvoir Me donnait et coeur et courage De braver ses coups et sa rage. Alors sur mes pieds medressai, Faible, abattu, comme un blessé; De l'archer bravant la menace, Je me traînai parmi la place Vers le rosier où mon coeur tend. Mais épines y avait tant, Ronces, chardons
Je me débarrassai avec beaucoup de peine de la foule de tant de cadavres sanglants entassés, et je me traînai sous un grand oranger au bord d'un ruisseau voisin; j'y tombai d'effroi, de lassitude, d'horreur, de désespoir, et de faim. Bientôt après mes sens accablés se livrèrent
Je le tirai par le bras, je le poussai, je le soutins, je le traînai jusqu'
Je me traînai sur le tapis, évitant le moindre heurt dont le bruit eût pu trahir ma présence. Il me fallut cinq minutes pour gagner la porte du fond qui donnait sur la bibliothèque. J'allais l'ouvrir, quand un soupir du capitaine Nemo me cloua sur place. Je compris qu'il se levait. Je l'entrevis même, car quelques rayons de la bibliothèque éclairée filtraient jusqu'au salon.
«Je me traînai vers mon lit, pour y chercher la seule défense qui me restât, mon couteau sauveur; mais je ne pus arriver jusqu'au chevet: je tombai
La tête basse, et arrosant de mes larmes la poussière du chemin, je me traînai jusqu'
Je m'en tirai, mais ma convalescence devait être longue. Pendant plus de deux mois je traînai, avec des alternatives de mieux et de plus mal... Eh bien! telles avaient été mes misères depuis deux ans, que ce triste séjour dans un hôpital était pour moi comme une halte dans une oasis, après une longue marche dans les sables.
Picart conduisait le cheval par la bride, moi je marchais en le tenant par la queue, mais je fus arrêté court; il ne marchait plus. Le pauvre diable avait beau faire des efforts, il ne pouvait avancer, car il était pris entre deux arbres, et les deux bottes de paille qu'il avait de chaque côté, l'empêchaient de passer. Lorsqu'elles furent tombées, il put se dégager et avancer. Je ramassai la paille, trop précieuse pour nous, je la traînai jusqu'au moment où nous trouvâmes le chemin plus large. Alors nous la remîmes sur le cheval et nous pûmes avancer plus
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