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Mis à jour: 11 juin 2025


Telle est la marche de l'Histoire antique. Fabuleuse avec Hérodote, oratoire avec Thucydide et Tite-Live, elle est humaine avec Tacite. L'Histoire humaine, voil

Ces 12 cités ne sont énumérées nulle part, mais c'étaient probablement Clusium, Perusia, Cortona, Vétulonium, Volaterra, Arretium, Tarquinii, Rusellæ, Falerii, Cære, Veii, Volsinii. Velleius Paterculus, I, 7. Duruy, Histoire des Romains, I, 2. Tite-Live, III, VIII.

La jeunesse, qui s'était enfermée dans le Capitole, résista quelque temps, et finit par payer rançon. C'est du moins la tradition la plus probable. Les Romains ont préféré l'autre. Tite-Live assure que Camille vengea sa patrie par une victoire, et massacra les Gaulois sur les ruines qu'ils avaient faites. Ce qui est plus sûr, c'est qu'ils restèrent dix-sept ans dans le Latium,

Le naïf jeune homme, électrisé par cette fureur tragique et familiarisé par la lecture de Tite-Live avec les beaux dévouements de l'antiquité, se crut appelé

Mais les vieilles formules, que citent Tite-Live, Cicéron et Macrobe, restaient comme des souvenirs du temps les deux populations ne se confondaient pas encore. Denys, IV, 43. Denys, VI, 89. PREMIÈRE R

Discours sur la première décade de Tite-Live, liv. I, ch. Dans cette idée, les législateurs de Rome firent deux choses: ils permirent aux accusés de s'exiler avant le jugement ; et ils voulurent que les biens des condamnés fussent consacrés, pour que le peuple n'en eût pas la confiscation. On verra dans le livre XI les autres limitations que l'on mit

On ne peut douter que les consuls, avant la création des préteurs, n'eussent eu les jugements civils. Voyez Tite-Live, première décade, liv. II, p. 19; Denys d'Halicarnasse, liv. X, p. 627, et même livre, p. 645. Souvent les tribuns jugèrent seuls; rien ne les rendit plus odieux. Judicia extraordinaria. Voyez les Institutes, liv. Liv. XI, p. 360.

Tite-Live, III, 31. Andocide, I, 82, 83. Démosthènes, in Everg., 71. Varron, L. L., VI, 16. Denys, X, I.

Page 100, ligne 10. «Et changèrent des Polybes, etc., en antiphonaires et en recueils d'homélies». C'est ainsi qu'en 1772, Paul-Jacques Bruns, Anglais, examinant dans la Bibliothèque du Vatican un beau manuscrit, timbré 24, qui paraît du huitième siècle, contenant les livres de Tobie, de Job et d'Esther, s'aperçut que le texte en avait été écrit par-dessus une écriture plus ancienne. Il reconnut que le vélin avait été arraché de différents manuscrits, et qu'on trouvait dans ce livre des fragments de plusieurs autres livres. Quelques feuillets contenaient autrefois des Oraisons de Cicéron, mais rien qui n'ait été publié. Quatre autres feuillets lui offrirent un fragment de l'un des livres de Tite-Live qui nous manquent (le quatre-vingt-onzième). Il est clair que ces quatre feuillets ont été arrachés d'un ancien manuscrit de Tite-Live, comme les autres l'ont été d'un manuscrit de Cicéron, par un copiste du huitième siècle qui manquait de vélin, ou pour qui il eût été trop cher. Ce fragment fut imprimé

Et l'on parle du serpent de Regulus, cité par Tite-Live. Vendredi 23 novembre. Des statues placées

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