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Mis à jour: 13 juillet 2025


Tu clampines donc! me dit en passant un camarade qui me vit assis sur mes cailloux. Je tirai l

Je vis alors que cet ange m'avait dit la vérité; et ayant jeté les yeux sur des morceaux de brique que j'aiguisai en les frottant l'un contre l'autre, et avec un peu de rouille que je tirai des ferrures de ma porte avec les dents, et dont je fis une espèce d'encre, j'écrivis sur le bord d'une des pages de ma Bible, au moment la lumière m'apparut, le dialogue suivant entre mon corps et mon âme: LE CORPS.

A présent, tiens ta parole, poète, me cria-t-elle, avec une moue d'enfant gâté. Je tirai donc mon talisman. Il est

Son air piteux dépassait encore tout ce que j'avais prévu. Je lui tirai ironiquement mon chapeau et lui tins ce langage: Eh bien! vieil arbre politique, as-tu chaud aux pieds? Sous une bourrasque de vent, il me sembla qu'il hochait insensiblement la tête comme pour me dire: Non. Et comme il avait été bon raillard dans son temps, j'entendis, en même temps, un craquement singulier dans son écorce.

Je tirai mon Lexique. Lief boerin.... Jolies jeunes filles. Elles se trémoussèrent. La mère les fit mettre en rang, les compta de l'index, et se frappa le sein. C'est moi qui leur ai donné la vie. Mes compliments... Ravissantes... J'ai faim!

Je cours derrière un gros saule; je m'appuie contre et tirai dans cette colonne, mais je ne pus y tenir... Les balles venaient de toutes parts, et je fus contraint de me coucher la tête par terre pour me garantir de cette mitraille qui faisait tomber les branches sur moi; j'en étais couvert. Je me voyais perdu.

Ce fut tout ce que je tirai de ce garçon... qui ne paraissait point méchant du tout. Les gendarmes ne lui avaient seulement pas lié les mains. La voiture vint

Je tirai de ma poche la boîte odorante, et la débarrassai des langes dans lesquels elle était encore enveloppée; c'étaient trois imprimés différents, tous relatifs

J'eus soudain un souvenir précis, et, montant chez moi je fouillai dans une vieille armoire, pleine de livres oubliés; j'en tirai bientôt deux minces plaquettes: l'une s'appelait l'Embarquement pour Thulé, l'autre, le Jardin des Cent Iris. Toutes deux, signées Valère Bouldouyr. La première avait paru en 1887, la seconde en 1890.

Ses ouvriers me demandèrent avec empressement, j'avois été, comment étoit le pays, et si je l'aimois. Je fis alors un grand éloge de Philadelphie, et de la vie agréable qu'on y menoit; et je dis que mon intention étoit d'y retourner. L'un d'entr'eux me demanda quelle sorte de monnoie on y avoit: je tirai aussitôt de ma poche une poignée de pièces d'argent, que j'étalai devant eux.

Mot du Jour

orneront

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