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Mis à jour: 27 octobre 2025


On sait depuis longtemps combien est immense la dispersion d'un grand nombre de plantes d'eau douce et même de plantes des marais, tant sur les continents que sur les îles océaniques les plus éloignées. C'est, selon la remarque d'Alph. de Candolle, ce que prouvent d'une manière frappante certains groupes considérables de plantes terrestres, qui n'ont que quelques représentants aquatiques; ces derniers, en effet, semblent immédiatement acquérir une très grande extension comme par une conséquence nécessaire de leurs habitudes. Je crois que ce fait s'explique par des moyens plus favorables de dispersion. J'ai déj

Dans une alliance plus haute Que les terrestres unions, Gravement comme eux, côte

Il se redressa de toute la hauteur de sa grande faille et se pencha sur le dormeur en levant son couteau qui jeta, dans l'ombre, un éclair sinistre. Puis, sa main s'abaissa sans frapper... Le jeune lieutenant souriait au milieu d'un rêve... peut-être son âme, libre pendant quelques instants des liens terrestres, s'était envolée aux régions heureuses tout est joie, bonheur et amour.

Parmi ces causes, l'une des principales sans doute est dans l'atmosphère dont nous sommes pénétrés. Les émanations, les exhalaisons végétales et terrestres changent avec la culture et avec d'autres circonstances, lors même que la température ne change pas sensiblement.

Puis, il se répétait : « Si, au moins, le lieu de tir était connu, j’aurais vite fait d’établir sur quels grands cercles terrestres la dénivellation serait nulle, et aussi, les points elle atteindrait son maximum. On pourrait prévenir les gens de déménager

Fermant le livre, il revint s'asseoir. Il relut le dernier chapitre de l'Adorant, s'applaudit d'avoir résolu selon les nécessaires conséquences le sort suprême de Guido: «Mon rêve, du moins, sera logique, comme elle le désire. Si la vie m'échappe, la transcendance m'appartient; je l'ai payée assez cher, je l'ai payée du prix de toutes les joies terrestres.

La mer commença tout, sans doute. Mais ce n'est pas des plus hauts animaux de mer que sortit la série parallèle des formes terrestres dont l'homme est le couronnement. Ils étaient trop fixés déj

Résumé de ce chapitre et du chapitre précédent. Les rivières et les lacs étant séparés les uns des autres par des barrières terrestres, on pourrait croire que les productions des eaux douces ne doivent pas se répandre facilement dans une même région et qu'elles ne peuvent jamais s'étendre jusque dans les pays éloignés, la mer constituant une barrière encore plus infranchissable.

Après avoir erré sur ces vastes continents, le regard est attiré par les mers plus vastes encore. Non seulement leur conformation, leur situation, leur aspect rappellent celui des océans terrestres, mais encore, ainsi que sur la Terre, ces mers occupent la plus grande partie du globe.

L'homme, par un instinct occulte, mais universel, semble avoir senti, dès le commencement des temps, le besoin d'exprimer dans un langage différent ces choses différentes. Placé lui-même, pour les sentir et les exprimer, sur les limites de ces deux natures humaines et divines qui se touchent et se confondent en lui, l'homme n'a pas eu longtemps le même langage pour exprimer l'humain et le divin des choses. La prose et la poésie se sont partagé sa langue, comme elles se partagent la création. L'homme a parlé des choses humaines; il a chanté les choses divines. La prose a eu la terre et tout ce qui s'y rapporte; la poésie a eu le ciel et tout ce qui dépasse, dans l'impression des choses terrestres, l'humanité. En un mot, la prose a été le langage de la raison, la poésie a été le langage de l'enthousiasme ou de l'homme élevé par la sensation, la passion, la pensée,

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