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Mis à jour: 18 juin 2025
Le discours du kourennoï plut aux Cosaques. Ils relevèrent leurs têtes baissées, et beaucoup d'entre eux firent un signe de satisfaction, en disant: Koukoubenko a bien parlé. Et Tarass Boulba, qui se tenait non loin du kochévoï, ajouta: Il paraît, kochévoï, que Koukoubenko a dit la vérité. Que répondras-tu
Qui me demande? dit-il enfin en sortant de sa rêverie. Le juif Yankel était devant lui. Seigneur polkovnik, seigneur polkovnik, disait il d'une voix brève et entrecoupée, comme s'il voulait lui faire part d'une nouvelle importante, j'ai été dans la ville, seigneur polkovnik. Tarass regarda le juif d'un air ébahi: Qui diable t'a mené l
Dès le lendemain, Tarass Boulba se concertait avec le nouveau kochévoï, pour savoir comment l'on pourrait décider les Zaporogues
Obéissant comme un enfant docile, Andry descendit de cheval et s'arrêta, ni vif ni mort, devant Tarass. Reste l
Partons! Ce mot retentit dans les kouréni des Zaporogues. Mais il ne fut pas du goût de Tarass Boulba, qui abaissa, en les fronçant, ses sourcils mêlés de blanc et de noir, semblables aux buissons qui croissent sur le flanc nu d'une montagne, et dont les cimes ont blanchi sous le givre hérissé du nord.
À cheval, Ostap! dit Tarass. Et il se hâta pour trouver encore debout les Cosaques, pour savourer leur vue une dernière fois, et pour qu'ils pussent regarder leur ataman avant de mourir. Mais il n'était pas sorti du bois avec les siens, que les forces ennemies avaient cerné le bois de tous côtés, et que partout,
Dites-moi, seigneurs, s'écria l'ataman Tarass, en s'avançant au-devant des chefs; y a-t-il encore de la poudre dans les poudrières? La force cosaque n'est-elle pas affaiblie? Les Cosaques ne commencent-ils pas
Nos voyageurs ne s'arrêtaient que pour le dîner. Alors toute leur suite, qui se composait de dix Cosaques, descendait de cheval. Ils détachaient des flacons en bois, contenant l'eau-de-vie, et des moitiés de calebasses servant de gobelets. On ne mangeait que du pain et du lard ou des gâteaux secs, et chacun ne buvait qu'un seul verre, car Tarass Boulba ne permettait
Qu'as-tu donc fait dans la ville? as-tu vu les nôtres? Comment donc! il y en a beaucoup des nôtres: Itska, Rakhoum, Khaïvalkh, l'intendant... Qu'ils périssent tous, les chiens! s'écria Tarass en colère. Que viens-tu me mettre sous le nez ta maudite race de juifs? je te parle de nos Zaporogues. Je n'ai pas vu nos Zaporogues; mais j'ai vu le seigneur Andry. Tu as vu Andry? dit Boulba.
Mais ce n'était pas le nom de sa patrie, ni de sa mère, ni de ses frères, c'était le nom de la belle Polonaise. Tarass fit feu. Comme un épi de blé coupé par la faucille, Andry inclina la tête, et tomba sur l'herbe sans prononcer un mot. Le meurtrier de son fils, immobile, regarda longtemps le cadavre inanimé. Il était beau même dans la mort.
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