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Mis à jour: 18 mai 2025
«Je passais alors sur le ruisseau, sous la forme d'une demoiselle bleue, déguisement que je suis forcée de prendre quand je crains la rencontre du roi des bourdons. Je savais bien que ton père ne te ferait pas mourir, mais je compris qu'il n'était point bon et qu'il ne t'aimerait guère. Je ne pouvais empêcher ce malheur, mais le besoin que j'ai de faire toujours du bien l
Ouaskèma ne t'aimerait pas, dit paisiblement la jeune file. Et d'un ton prophétique: Elle en aime un autre! Elle doit être
Conserve-toi pour ton fils. Quand je ne serai plus, retourne dans ta patrie, pour revoir ta vieille mère. Ne te remarie qu'en France, si ta mère te le demande, mais non aux Philippines, car tu n'y trouverais pas une compagne qui t'aimerait autant que je t'ai aimé!» Ces paroles furent les dernières que prononça cet ange de douceur et de bonté.
La femme qui t'y ferait manquer, et qui t'aimerait encore après, serait une femme échauffée de désirs seulement. Après quoi, tu pourrais ne jamais entendre parler d'elle; jamais un amour honnête et véritable ne se nourrira de honteux sacrifices.
Ne serait-elle point heureuse, Octave, la femme qui t'aimerait?
Aussi tu refusais.... Tu verras comme ce sera gentil. Est-ce que ta bossue t'aimerait comme je t'aime? Ce n'est pas une femme, ce petit moricaud-l
Qui ne t'aimerait pas, innocente, impatiente, hâtive pécheresse aux veux d'enfant! Où m'entraînes-tu maintenant, enfant modèle, enfant mutin? Et te voil
Je ne serai jamais assez belle pour lui... J'aurais tant voulu grandir un peu pour lui!... Je suis encore la toute petite fille... son petit Jean... Je t'envie, moi, dit la mère. Tu n'as presque pas besoin de te pencher pour appuyer ton oreille sur les battements de son coeur... Si tu étais plus grande, il t'aimerait moins peut-être!...
"Il le faut, Edouard, oui, il faut nous unir ou nous séparer. Nous séparer! Crois-tu que je pourrais écrire ce mot si je ne savais bien que l'effet en est impossible? où trouverais-tu de la force pour me fuir? Où en trouverais-je pour vivre sans toi? Toi, moitié de moi-même, sans lequel je ne puis seulement supporter la vie un seul jour, ne sens-tu pas comme moi que nous sommes inséparables? Que peux-tu m'opposer? Un fantôme d'honneur qui ne reposerait sur rien. Le monde t'accuserait de m'avoir séduite! Eh! quelle séduction y a-t-il, pour deux êtres qui s'aiment, que la séduction de l'amour? N'est-ce pas moi, d'ailleurs, qui t'ai séduit? Si je ne t'avais montré que je t'aimais, m'aurais-tu avoué ta tendresse? Hélas! tu mourais plutôt que de m'en faire l'aveu! Tu dis que tu ne veux pas m'abaisser! Mais, pour une femme, y a-t-il une autre gloire que d'être aimée? un autre rang que d'être aimée? un autre titre que d'être aimée? Te défies-tu assez de ton coeur pour croire qu'il ne me rendrait pas tout ce que tu te figures que tu me ferais perdre? Imagine, si tu le peux, le bonheur qui nous attend quand nous serons unis, et regrette, si tu l'oses, ces prétendus avantages que tu m'enlèves. Mon père, Edouard, est le seul obstacle: je méprise tous les autres, et je les trouve indignes de nous. Eh bien! je veux t'avouer que je ne suis pas sans espérance d'obtenir un jour le pardon de mon père. Oui, Edouard, mon père m'aime; il t'aime aussi: qui ne t'aimerait pas? Je suis sûre que mon père a regretté mille fois de ne pouvoir faire de toi son fils: tu lui plais, tu l'entends, tu es le fils de son coeur. Eh! n'es-tu pas celui de son vieil ami, qui sauva autrefois son honneur et sa fortune? Eh bien! nous forcerons mon père d'être heureux par nos soins, par notre tendresse. S'il nous exile de Paris, il nous admettra
Il t'aimerait si tu ne me rendais pas malheureux. Ah! l'éternelle chanson! La jeune femme fit claquer ses doigts, jeta son livre
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