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Mis à jour: 11 mai 2025
Je te bénis, mon cher vieux pour la bonne pensée que tu as eue de venir; mais tu as bien fait de ne pas voyager malade. Ah! mon Dieu, je ne rêve que maladie et malheur: soigne-toi, mon vieux camarade. J'irai te voir si je peux me remonter; car, depuis ce nouveau coup de poignard, je suis faible et accablée et je traîne une espèce de fièvre. Je t'écrirai un mot de Paris. Si tu es empêché, tu me répondras par télégramme. Tu sais qu'avec moi, il n'y a pas besoin d'explications: je sais tout ce qui est empêchement dans la vie et jamais je n'accuse les coeurs que je connais. Je voudrais que, dès
Il faudrait dépoétiser le parfum de la petite feuille pour dire son nom. J'en sème dans les pages, mais, Psyché, tu ne sauras pas son nom. Les jours maintenant peuvent se décompter. Bientôt, Enfin Adieu, ma chère âme. Dimanche je t'écrirai du bord de la mer, mais comme l
Bien sûr?... Tu sais que c'est pressé... Oui, oui, je t'écrirai... Adieu.» Et le gros homme referma sa porte vivement comme s'il avait peur que sa femme arrivât.
Le courrier part, je t'écrirai par le courrier ordinaire. Signé, FOUCH
«Je ne t'écrirai plus. Quand tu seras détrôné, ce qui ne peut tarder beaucoup, fais-moi connaître par les journaux s'il te plairait de venir me rejoindre. Je t'en donnerai alors les moyens. «Je t'embrasse et je signe pour la dernière fois.
Tiens, fit-elle en la rejetant au bout de quelques instants, je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui... Je t'écrirai cela un autre jour... Comme tu voudras, ma petite... mais j'y compte. Viens donc demain... Je te raconterai les farces de madame... Nous rirons! Et, la porte fermée, Adèle se mit
Ensuite il la vint prendre avec son ami, et tu sais tout le reste. Nous attendons des nouvelles de nos négociations de Paris, et je ne t'écrirai plus que nous ne les ayons. Fin de la première partie. ou par
Adieu, Ernest; je crois que je ne t'écrirai plus. Lettre XXXVIII. De la Brenta, le... J'ai été malade, Ernest, assez malade, et cela, depuis ma dernière lettre. Tu as pu voir combien ma raison était égarée.
C'est que je ne t'avais pas vue hier, et que tu ne m'avais rien commandé. « Que dis-tu! Gottlieb, c'était toi qui m'écrivais? « Et quel autre eût pu le faire? Tu n'avais pas deviné que c'était moi? Mais je ne t'écrirai plus inutilement
Je tâcherai de t'aller voir, mais certainement je t'écrirai; allons, adieu, Rigolette, adieu... Si tu savais comme je suis heureuse de t'avoir rencontrée! Et moi donc... mais ce ne sera pas la dernière fois, je l'espère; et puis je suis si impatiente de savoir si ton M. Rodolphe est le même que le mien...
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