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Mis à jour: 3 mai 2025
Près du fleuve roulant vers l'horizon ses ors Et ses pourpres et ses vagues entre-frappées, S'ouvre et rayonne, ainsi qu'un grand faisceau d'épées, L'abside ardente avec ses sveltes contreforts. La nef allume auprès ses merveilleux décors: Ses murailles de fer et de granit drapées, Ses verrières d'émaux et de bijoux jaspées Et ses cryptes, où sont couchés des géants morts;
Réel, et pourtant baigné comme d'un chimérique brouillard bleu, dans un silence et une splendeur de vision, Stamboul, le Stamboul séculaire était bien ici, tel encore que l'avaient contemplé les vieux Khalifes, tel encore que Soliman le Magnifique en avait jadis conçu et fixé les grandes lignes, en y faisant élever de plus superbes coupoles. Rien ne semblait en ruine, de cette profusion de minarets et de dômes groupés dans l'air du matin, et cependant il y avait sur tout cela on ne sait quelle indéfinissable empreinte du temps; malgré la distance et l'un peu éblouissante lumière, la vétusté s'indiquait extrême. Les yeux ne s'y trompaient point: c'était un fantôme, un majestueux fantôme du passé, cette ville encore debout, avec ses innombrables fuseaux de pierre, si sveltes, si élancés qu'on s'étonnait de leur durée. Minarets et mosquées avaient pris, avec les ans, des blancheurs déteintes, tournant aux grisailles neutres; quant
Les fiacres alternaient avec de fines voitures de gommeux: les uns lourds, au ventre énorme écrasant les ressorts, attelés d'une rosse au cou tombant, aux genoux casses; les autres sveltes, élancées sur des roues minces, avec des chevaux aux jambes grêles et tendues, au cou dressé, au mors neigeux d'écume, tandis que le cocher, gourmé dans sa livrée, la tête raide en son grand col, demeurait les reins inflexibles et le fouet sur un genou.
Ça met dans votre travail, un peu de colère. Un joli détail de la vie élégante parisienne. Parmi les demoiselles-mannequins, qui, dans les salons de Worth, montrent et promènent sur leurs sveltes corps, les robes de l'illustre couturier, il est une demoiselle, ou plutôt une dame mannequin, dont la spécialité est de représenter la grossesse de la high-life.
C'étaient de sveltes et grandes jeunes filles, fortes et charnues, au nez droit et mince, au front haut et voilé par d'épais cheveux noirs, lisses comme l'aile d'un corbeau. Et quels yeux! des yeux d'Espagnoles, longs et étroits, avec une prunelle veloutée qui luit sur un fond si limpide, si transparent qu'il paraît bleuâtre.... Pour la bouche, c'était de l'ébène, de l'ivoire et du corail....
Très noires, nos ombres, qui se promènent sur les blanches pierres peuplées de lézards. Noirs aussi, les passants, que nous rencontrons maintenant de plus en plus nombreux, comme avant-hier, en défilé presque continu. Des Bédouins, chassant devant eux des petits ânes par centaines; des Bédouins et des Bédouins, armés de longs fusils, de coutelas et de poignards, la corde de laine autour du front et les coins du voile arrangés en oreilles de bête; groupes archaïques et charmants; groupes d'hommes sveltes et fauves qui, en nous croisant, nous montrent, dans un sourire de salut, des dents de porcelaine. Et des chameaux, attachés
Surtout le soir, il les considère en songeant Parmi le crépuscule, automne des journées, Et dans elles, qui sont longues d'être affinées, Voit son mal comme hors de lui se prolongeant, Mains pâles d'autant plus que l'obscurité tombe! Elles semblent s'aimer et semblent s'appeler; Elles ont des blancheurs frileuses de colombe Et, sveltes, on dirait qu'elles vont s'envoler. Elles font sur l'air des taches surnaturelles Comme si du nouveau clair de lune en chemin Entrait par la fenêtre et se posait sur elles. Or la pâleur est la même sur chaque main, Et le malade songe
En avant se tenaient, sveltes et charmants comme des jeunes filles, les pages en livrées de deux teintes, garnies de duvet de cygne le côté droit en velours rose, le côté gauche en satin bleu avec, brodées en argent, sur la poitrine, les armes des Sforza-Visconti. Le vêtement était collant au point d'épouser tous les plis du corps et seulement devant,
Je suis le corps tout plein d'amour d'une amoureuse, Mes sveltes peupliers ont des tailles flexibles, Mes hêtres blancs et durs sont de fermes poitrines Et mes larges platanes courbent comme des ventres L'orgueilleux bouclier de leurs écorces fauves, Je suis le corps tout plein d'amour d'une amoureuse.
Parler de l'art chez les Tanala est sans doute chose délicate. Mais est-il possible que ce peuple jaloux de son histoire et de sa liberté, possesseur de croyances religieuses si pittoresques, n'ait pas une conception originale du beau, des notions esthétiques particulières, et même un certain sentiment de la nature? Le culte de la beauté pourrait-il ne pas exister chez une race aux hommes vigoureux, aux femmes sveltes, dont les formes souples et harmonieuses font songer
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