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Il veut faire la PHILOSOPHIE DE L'HISTOIRE. Comment l'entend-il? A-t-il une vue d'ensemble sur le déluge, sur les khalifes, sur Omar, sur les croisades, sur Louis-Philippe? «Citoyens, fait Renoul qui préside, personne ne dit rien? Matoussaint, tu n'as pas d'observation

La Mouski mène aux tombeaux des Khalifes, j'ai été deux fois, de jour d'abord, pour jouir pleinement de la beauté de Quaït baï, charmante mosquée du XVIe siècle, vrai bijou de pierre dentelée, chef-d'oeuvre de hardiesse et de grâce. Le minaret monte comme une flèche dans l'air pur. La coupole semble un miracle d'équilibre. Le plafond, en bois sculpté et peint, flatte et caresse les yeux. Une douce lumière tombe des petites fenêtres. Impossible de rêver, pour les fleurs des vitraux, des couleurs plus franches, plus discrètes et plus pures. Sous le porche, pendant que le gardien nous aide

Réel, et pourtant baigné comme d'un chimérique brouillard bleu, dans un silence et une splendeur de vision, Stamboul, le Stamboul séculaire était bien ici, tel encore que l'avaient contemplé les vieux Khalifes, tel encore que Soliman le Magnifique en avait jadis conçu et fixé les grandes lignes, en y faisant élever de plus superbes coupoles. Rien ne semblait en ruine, de cette profusion de minarets et de dômes groupés dans l'air du matin, et cependant il y avait sur tout cela on ne sait quelle indéfinissable empreinte du temps; malgré la distance et l'un peu éblouissante lumière, la vétusté s'indiquait extrême. Les yeux ne s'y trompaient point: c'était un fantôme, un majestueux fantôme du passé, cette ville encore debout, avec ses innombrables fuseaux de pierre, si sveltes, si élancés qu'on s'étonnait de leur durée. Minarets et mosquées avaient pris, avec les ans, des blancheurs déteintes, tournant aux grisailles neutres; quant

Après qu’il eut regardé, il descendit donc vers ce quartier bas de Galata, toujours encombré d’une vile populace Levantine, qui est la partie de Constantinople la plus ulcérée par le perpétuel contact des paquebots, et par les gens qu’ils amènent, et par la pacotille moderne qu’ils vomissent sans trêve sur la ville des Khalifes.

[Note 35: La grande édition de Tabari, 1re série, t. VIII, p. 2406. Le P. H. Lammens a étudié d'une manière fort intéressante la situation des chrétiens sous les premiers Khalifes dans son mémoire intitulé le Chantre des Omiades, notes biographiques et littéraires sur le poète arabe chrétien Ahtal, paru dans le Journal Asiatique, 1894. Il y est question de la capitulation d'Omar

Dans le sud de l'empire des khalifes avait paru, dès le règne encore glorieux de Moktafi, la secte étrange des Karmates. Nous en avons parlé dans un autre ouvrage . L'élan des Karmates était déj

Il ne faut cependant pas s'imaginer qu'il y ait jamais eu un moment cette grande capitale ne renfermât pas de ruines. Ce n'est pas une chose possible en Asie. Dans les contes qui nous parlent de Bagdad au temps des khalifes abbassides,

Quatre genres de talents attiraient surtout sur des personnages non musulmans la faveur des khalifes: les talents artistiques, médicaux, administratifs et scientifiques. L'habileté dans les métiers était prisée chez les Chrétiens, parce qu'elle ne se rencontrait pas au même degré chez les Musulmans. Le khalife Omar avait dérogé

Dans l'ordre de l'administration, les chrétiens rendirent aux Musulmans d'éminents services; et sans eux l'empire des khalifes n'aurait pas pu s'organiser. Les conquérants mahométans, ne trouvant dans leur propre race que les souvenirs et les exemples de la vie de clan, n'avaient aucune connaissance des pratiques administratives. Ils furent contraints de donner beaucoup de place

La vie de notre philosophe s'étend sous les règnes des khalifes Tây, Kâdir et Kâïm. Les noms de ces souverains sont dépourvus d'éclat, relativement