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Mis à jour: 31 mai 2025


Une senteur forte s'était répandue, la senteur des simples dont sa robe se trouvait imprégnée, et qu'elle apportait dans sa chevelure grasse, défrisée toujours: le sucre fade des mauves, l'âpreté du sureau, l'amertume de la rhubarbe, mais surtout la flamme de la menthe poivrée, qui était comme son haleine propre, l'haleine chaude qu'elle soufflait au nez des hommes.

Je vous l'ai dit, Oudin me ramena, dès le lendemain de l'algarade Sureau, mon petit matériel de scribe. Je rangeai tout cela dans un coin de la chambre, en attendant le moment d'entrer dans une autre place. Et, tout de suite, ma nouvelle vie commença.

Qu'on m'apporte du houx Pour y percer trois trous... Du houx, du buis ou du sureau Avec une peau de chevreau, Pour faire une musette, lon la, Pour chanter mes amours Tout le long de mes jours!

Il faut dire que M. Sureau n'a pas voulu comprendre. Il m'aurait été nécessaire de lui donner des explications et, tout bien pesé, j'ai mieux fait de ne rien expliquer. Et puis, M. Sureau ne m'a pas laissé le temps de me ressaisir, de me justifier. Il a été vif. Tranchons le mot: il s'est montré brutal et même féroce. Ça ne fait rien: je ne songe pas

Nous arrosions ces branches taillées et l'une d'elles, une branche de sureau, prit racine, bourgeonna et devint par la suite le grand arbre sous lequel nous deux, vieux, sommes assis. Oui, dit-il, et l

Heureusement M. Sureau ne me regardait pas. Il tripotait le cahier que je lui avais remis. Il éprouvait une rage lourde, assez bien contenue. Tout

Je revoyais, une par une, toutes les minutes de cette journée funeste: le bureau, M. Jacob, M. Sureau, la tentation, l'acte idiot et pourtant nécessaire, mon retour

ARVIRAGUS. Patience, deviens la plus forte, et que la douleur, ce sureau infect, cesse d'enlacer sa racine mourante

La faim, c'est le regard de la prostituée, C'est le bâton ferré du bandit, c'est la main Du pâle enfant volant un pain sur le chemin, C'est la fièvre du pauvre oublié, c'est le râle Du grabat naufragé dans l'ombre sépulcrale. O Dieu! la sève abonde, et, dans ses flancs troublés, La terre est pleine d'herbe et de fruits et de blés, Dès que l'arbre a fini, le sillon recommence; Et, pendant que tout vit, ô Dieu, dans ta clémence, Que la mouche connaît la feuille du sureau, Pendant que l'étang donne

Il y a d'ailleurs longtemps de cette aventure. Je n'en parlerais pas si vous n'aviez pas réveillé de mauvais souvenirs. Et puis, il m'est arrivé tant de choses, depuis, que je peux avoir oublié quelques détails. Je dois vous faire remarquer que je n'avais vu M. Sureau que trois fois. En l'espace de cinq ans, c'est peu. Cela tient

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