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Mis à jour: 1 juillet 2025
«J'évoquerai d'un seul trait cette suave apparition. «Depuis deux mois que j'étais
Sois béni, en attendant, pour cette heure de grâce parfaite, cette heure où tu réalisas ton mystérieux idéal, où ton essence sublimée m'éblouit l'âme comme une transfiguration; où tu te révélas sous les espèces de ce qu'il y a de plus suave et de plus séduisant dans la vie, ou tu auras vécu pour l'enchantement de mes derniers regards, pour être mon salut dès ce monde, pour m'administrer la dernière grâce.
Oh! comme je respirais librement, entourée d'une atmosphère tiède, doucement pénétrante. Quelle volupté suave et ravissante! j'étais dans une délicieuse extase. Il me semblait, qu'une vie nouvelle inondait mon être, que j'étais plus forte, plus grande, que j'aspirais un souffle divin, que je m'épanouissais aux rayons d'un beau Ciel! Alc. Vous êtes poëtique, Fanny.
« Que crains-tu, Vasiliki?» répondit Sélim avec sa voix si suave et si fière
Il y a dans la vie des communautés religieuses un charme solennel qui attire et séduit les imaginations vives. Toutes ces existences confondues en une seule existence, cette règle cachée sous laquelle tout ploie, le silence sur toutes les lèvres, l'obéissance, ce silence de la volonté, dans tous les coeurs; de jeunes femmes, enveloppées de deuil, qui chantent d'une voix suave de funèbres cantiques, les sons puissants de l'orgue vibrant sous des mains timides; toutes les sévérités de la religion voilées d'une grâce touchante; je ne sais quel mélange inexprimable enfin de joie et de tristesse, d'humilité et d'extase, qui se révèle sur des visages d'une placidité mélancolique, tout cela captive les sens émus et s'empare du coeur comme par surprise. Nélida, plus qu'une autre, devait se laisser pénétrer de cette poésie du cloître. Douée d'une organisation exquise, elle avait l'âme croyante, prédisposée aux ardeurs mystiques. La douce enfant que nous avons vue, en un beau jour de juin, aussi blanche que les nénuphars, aussi souple que les roseaux de l'étang d'Hespel, la craintive révoltée qui courait par la campagne avec un garçon sans peur et sans vergogne, est devenue une jeune fille calme et grave, d'une merveilleuse beauté; mais les roses du printemps ne sont point écloses sur sa joue; le sourire de la confiante jeunesse n'entr'ouvre pas sa lèvre sérieuse; sa démarche est languissante; son accent plein de larmes; sa paupière, lente
Un sang impétueux bondit aux joues de Léa, et elle maudit son émotion fougueuse et le jour clair du petit salon. Mme Peloux, l'oeil suave, se repaissait du trouble de Léa. "Mais bien sûr, il le sait. Faut pas rougir pour ça, ma grande! Es-tu enfant! D'abord, comment as-tu su que j'étais revenue? Oh, voyons, Léa, ne pose pas des questions pareilles. On t'a vue partout....
La jeune fille n'est qu'une lueur de rêve et n'est pas encore une statue. Son alcôve est cachée dans la partie sombre de l'idéal. L'indiscret toucher du regard brutalise cette vague pénombre. Ici, contempler, c'est profaner. Nous ne montrerons donc rien de tout ce suave petit remue-ménage du réveil de Cosette.
Il trouva un homme dans la force de l'âge, bien fait, d'un port noble, les yeux d'un bleu doux, le front large, la voix forte, sonore dans le commandement, flexible et suave dans l'intimité de la causerie, prenant tous les chemins pour arriver au coeur de son peuple, ardent, éclairé, et surtout singulièrement épris des arts, qui le reçut entre le portrait de Gustave Wasa et d'Adolphe Frédéric, lui parla de son voyage en France sous le nom du comte de Haga, avant qu'il fût roi; l'entretint de Voltaire et de Frédéric, du roi Stanislas et de Boufflers, puis arrivant graduellement
Ce poète, aussi peu «homme de lettres» qu'Homère, ce qu'il exprimait sans effort, c'était tous les beaux sentiments tristes et doux accumulés dans l'âme humaine depuis trois mille ans: l'amour chaste et rêveur, la sympathie pour la vie universelle, un désir de communion avec la nature, l'inquiétude devant son mystère, l'espoir en la bonté du Dieu qu'elle révèle confusément; je ne sais quoi encore, un suave mélange de piété chrétienne, de songe platonicien, de voluptueuse et grave langueur.
À vrai dire, c'est entièrement, c'est absolument l'esprit de Voltaire. Chateaubriand rassemble autour de son sauvage tous les grands hommes et toutes les femmes charmantes du siècle de Louis XIV; et l'homme de la nature démêle et admire les avantages et la douceur d'une société brillante. La Bruyère lui fait un petit résumé des absurdités et des gloires du siècle. Puis Fénelon, ce Fénelon tant aimé des philosophes, lui fait la plus suave apologie de la civilisation,
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