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La maison Strucko de Vienne avait agi sous la direction de Pierre Davenne: c'est lui qui, de la petite maison de Charonne, avait combiné, machiné et fait exécuter le mariage de son ancien ami.

Lorsqu'il fut chez lui, Fernand trouva la lettre apportée quelques heures avant; il la lut aussitôt. Elle était adressée de Vienne par la maison Strucko, ce qui ne l'étonna pas, puisque c'était le client qui avait servi d'intermédiaire

Lorsque Fernand, voulant sauver la situation de sa maison, compromise par la catastrophe, qui, de son commanditaire, avait fait un créancier féroce, nous parlons de la créance vendue par Pierre Davenne, avait accepté la proposition d'un sieur Strucko, de Vienne, qui lui parlait de mariage, l'amour n'entrait pour rien dans l'affaire... En demandant qu'on lui adressât le portrait de celle dont on voulait faire son épouse, il se disait: «Qu'elle ne soit pas tout

Monsieur Danielo, dit Séglin, en faisant demander par notre ami commun, M. Strucko, la main de votre nièce, je ne voyais dans ce mariage que l'assemblage de deux situations qui devait assurer aux époux une vie heureuse. J'y voyais la possibilité de donner plus d'étendue

Quelques minutes après, le vieux Moldave et Fernand Séglin étaient attablés dans un cabinet de chez Brébant, et, en achevant de dîner, ils causaient. Le vieux Danielo disait: Lorsque, par l'entremise de la maison Strucko, de Vienne, nous vous avons connu, sur les propositions qui nous furent faites, nous dûmes nous renseigner auprès de nos correspondants de Paris. Je dois vous le déclarer, les renseignements furent absolument

Pas un instant Fernand, qui trompait sur sa situation par l'intermédiaire de Strucko, ne pensait qu'il pouvait être également trompé. Suivant sa maxime, Séglin faisait de son mariage l'assemblage de deux situations: d'amour, d'affection, de famille, il n'était nullement question. Il s'attendait

À cette lettre, il recevait presque aussitôt une réponse dans laquelle on lui proposait une orpheline, de famille noble et riche, qui désirait se marier en France. La maison Strucko connaissait la famille, on pouvait donc s'abandonner; c'est ce que fit Fernand.

Des portraits furent échangés, les situations de chacun établies, toujours par l'intermédiaire de la maison Strucko; et, enfin, la demande faite directement par Fernand fut agréée.