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Mis à jour: 14 juin 2025


Le texte est bien clair, et la strophe suivante l'explique encore mieux. M. A. P. n'a pas craint de faire dire ici

Il est certain que la fin du premier vers et tout le second forment une cheville ou que, tout au moins, si le poète avait écrit en prose, il n'aurait guère senti le besoin d'apostropher ici son coeur. Mais, d'autre part, cette parenthèse n'a rien de choquant et la diction peut même la rendre touchante: elle est dans le sentiment de la strophe et de tout le morceau. Elle n'en est point une partie nécessaire; mais elle en est une partie harmonieuse et concordante. Il y a toujours, dans une strophe ou dans une phrase poétique, un ou plusieurs vers qui expriment ce qui devait être dit, et, tout autour, des vers qui traduisent des idées, des sentiments, des images accessoires et qu'on pourrait

Qu'on lise cette courte strophe dans l'original, on verra que chaque mot est chargé de sens. Tout y est: le vent, son bruit, sa direction, l'instant du jour, l'expression des rayons du soleil, la saison, l'aspect et la couleur des bois. Que dis-je? Leur agitation du moment, leur disposition générale. Qu'on prenne un autre exemple, c'est un crépuscule d'hiver.

Marie-Joseph Chénier, qui était de la Convention, fit, séance tenante, la première strophe de son hymne: La victoire, en chantant, nous ouvre la barrière... Méhul en fit la musique. Jacques Mérey détourna l'attention de lui et la ramena sur le jeune Baptiste Renard.

J'en trouve une de Giraut Riquier, dont les strophes sont de douze vers, sur trois seules rimes féminines entremêlées. Deux de ces rimes sont conservées dans la seconde strophe; la troisième rime disparaît et fait place

«Je n'ai jamais connu ce que c'est que la peur; tout ce que je veux, je le puis, quand même je voudrais l'impossible; et, en tout ce qui est possible, je mets, j'ôte, j'ordonne et je défendsLa strophe achevée, il lança une flèche sur le haut du château, et regagna sa place.

Elle commençait par cette strophe: Orientis partibus Adventavit asinus Pulcher et fortissimus, Sarcinis aptissimus. Hez, sire âne, hez! Des contrées de l'Orient, il est arrivé un âne beau et fort, propre

Voici une alba de Giraut Riquier; Toutes les strophes finissent par ce dernier vers. serena du même poëte, les quatre derniers vers de la strophe qui servent de refrain, ont bien le caractère mélancolique de ce genre de poésie: E dizia sospiran: Iorns, ben creyssetz a mon dan, E'l sers Aussi me'ssos lonc espers.

Passons a la scène suivante, dites, elle est si jolie! Qu'en savez-vous? Je soupçonne le dénouement. Ce n'est pas une comédie. C'est une charade! J'ai trouvé! Je vous ai remis un «poulet». Il s'en est suivi un «froid». Et mon tout est la strophe célèbre de Paul Robert: Si tu veux, faisons un rêve: Montons sur un poulet froid! Tu m'emmènes, je t'enlève... Voulez-vous jouer le troisième vers?

Toutes ces pièces sont dans la veine ancienne. La Sainte-Foire et Les Courses de Leith sont écrites dans la vieille strophe de neuf vers. Les Jours fous, Le Jour de naissance du Roi sont écrits dans la strophe plus courte de cinq vers. Fergusson, on l'a vu plus haut, s'est rattaché au filon des élégies comiques par son

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