United States or Turkey ? Vote for the TOP Country of the Week !


Bien des noms y étaient effacés, sans doute les noms de ceux qu'il avait pu joindre. »Par contre, il y avait deux noms nouveaux qui remplissaient les blancs. »Le capitaine Lorrain était effacé, le 1. Le 2, Staupitz, avait une large barre. Pinto aussi, el Matador aussi; Joël de Jugan de même. »Les cinq barres étaient

Ils ne voyaient point que tous ces cadavres et ces gens hors de combat étaient des auxiliaires mis en avant pour les lasser. Les maîtres d'armes restaient debout, sauf un seul, Staupitz, qui n'était qu'évanoui. Les maîtres d'armes se tenaient

Vous avez donc des doutes, monseigneur? répéta Peyrolles au comble de l'inquiétude. Gonzague lui passa le papier déroulé, et Peyrolles lut avidement. Le papier contenait une liste ainsi conçue: «Le capitaine Lorrain, Naples; »Staupitz, Nuremberg; »Pinto, Turin; »El Matador, Glascow; »Joël de Jugan, Morlaix; »Faënza, Paris; »Saldagne, id.; »Peyrolles, ...;

Je la lus... Hélas! ma mère, j'avais tant d'envie de savoir pourquoi mon ami Henri me quittait. »La liste ne m'apprit rien que des noms et des demeures. Je ne connaissais aucun de ces noms. »C'étaient sans doute ceux des gens qu'Henri devait voir dans son voyage. »La liste était ainsi faite: » Le capitaine Lorrain, Naples. » Staupitz, Nuremberg. » Pinto, Turin. » El Matador, Glascow.

Saldagne posa son feutre de travers. On ne s'était encore distribué aucun horion: c'était merveille. La danse allait peut-être commencer, lorsque Staupitz, qui était

Les trois Espagnols avaient nom Saldagne, Pinto et Pépé, dit el Matador, tous trois escrimidores, l'un de Murcie, l'autre de Séville, le troisième de Pampelune. L'Italien était un bravo de Spolète; il s'appelait Giuseppe Faënza. L'Allemand se nommait Staupitz; le bas Breton, Joël de Jugan. C'était M. de Peyrolles qui avait assemblé toutes ces lames: il s'y connaissait.

Peyrolles appela pour la troisième fois: Passepoil!... Staupitz! Si ce n'était pas un des nôtres? murmura son compagnon. C'est impossible, répliqua Peyrolles, j'ai ordonné qu'on laissât ici une sentinelle... C'est Saldagne, je le reconnais... Saldagne! Présent! répondit Lagardère, qui prit

Celui-ci se défendit vaillamment. Il égratigna Saldagne avec son petit poignard; il mordit Carrigue, et lança de furieux coups de pied dans les jambes de Staupitz. Mais la partie était trop inégale, Berrichon, terrassé, sentait déj

Sur les neuf, Staupitz et le capitaine Lorrain sont partis les premiers. Staupitz était de famille, bien qu'il eût l'air d'un rustaud. Le capitaine Lorrain était bon homme de guerre, et le roi d'Espagne lui avait donné un régiment. Staupitz mourut sous les murs de son propre manoir, auprès de Nuremberg... il mourut d'un coup de pointe... l

Staupitz était attaché