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Mis à jour: 10 mai 2025
Monsieur Lemercier, je vous vois encore un jour d'une représentation de Pinto,
Le premier contient plusieurs voyages remplis d'aventures extraordinaires, ceux de Pyrard, de Pinto, de Bontekoé, et la description de toutes les îles de la mer des Indes, depuis les Maldives jusqu'aux Philippines.
Les trois Espagnols avaient nom Saldagne, Pinto et Pépé, dit el Matador, tous trois escrimidores, l'un de Murcie, l'autre de Séville, le troisième de Pampelune. L'Italien était un bravo de Spolète; il s'appelait Giuseppe Faënza. L'Allemand se nommait Staupitz; le bas Breton, Joël de Jugan. C'était M. de Peyrolles qui avait assemblé toutes ces lames: il s'y connaissait.
Une preuve secondaire de l'expérience de Gusmâo résulte de pièces de vers plus ou moins satiriques publiées en 1732 par Thomas Pinto Brandâo. L'une d'elles est intitulée: «Au père Bartholomeu Lourenço, l'homme volant qui s'est enfui, et cela se comprend, puisqu'on a su qu'il était lié avec le diable.»
Tant mieux pour toi, mon bon, répliqua le Gascon; il n'aime pas les gens de ta tournure. C'est lui qu'on appelle le beau Lagardère? demanda Pinto. C'est lui, ajouta Faënza en baissant la voix, qui tua les trois prévôts flamands sous les murs de Senlis? C'est lui, voulut dire Joël de Jugan, qui... Mais Cocardasse l'interrompit en prononçant avec emphase ces seuls mots: Il n'y a pas deux Lagardère!
Passepoil demanda candidement: Et quel est donc le nom de ce géant qui combattra contre huit hommes? Donc chacun, sandiéou! vaut une demi-douzaine de bons drilles, ajouta Cocardasse. Staupitz répondit: C'est le duc Philippe de Nevers. Mais on le dit mourant! se récria Saldagne. Poussif! ajouta Pinto. Surmené, cassé, pulmonaire! achevèrent les autres. Cocardasse et Passepoil ne disaient plus rien.
Je la lus... Hélas! ma mère, j'avais tant d'envie de savoir pourquoi mon ami Henri me quittait. »La liste ne m'apprit rien que des noms et des demeures. Je ne connaissais aucun de ces noms. »C'étaient sans doute ceux des gens qu'Henri devait voir dans son voyage. »La liste était ainsi faite: »1º Le capitaine Lorrain, Naples. »2º Staupitz, Nuremberg. »3º Pinto, Turin. »4º El Matador, Glascow.
Les autres avaient fait leur chemin, reprit Passepoil, car M. de Gonzague n'a oublié que nous dans ses largesses. Pinto avait épousé une madonna de Turin; le Matador tenait une académie en
Vous avez donc des doutes, monseigneur? répéta Peyrolles au comble de l'inquiétude. Gonzague lui passa le papier déroulé, et Peyrolles lut avidement. Le papier contenait une liste ainsi conçue: «Le capitaine Lorrain, Naples; »Staupitz, Nuremberg; »Pinto, Turin; »El Matador, Glascow; »Joël de Jugan, Morlaix; »Faënza, Paris; »Saldagne, id.; »Peyrolles, ...;
Je passe encore la soirée chez M. Cabral et chez, son beau-père, M. de Tizanos Pinto, ministre plénipotentiaire de San-Salvador. Celui-ci me fournit l'occasion de connaître Mgr D. Pedro Garcia, lequel a habité longtemps Rome et l'Europe.
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