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Ce misérable, matador par occasion, avait pour industrie spéciale de manger. Il absorbait sept ou huit douzaines d'œufs durs, un mouton tout entier, un veau, etc. À voir sa maigreur, il faut croire qu'il ne travaillait pas souvent. Il y avait beaucoup de monde

Outre un partisan qu'il avait jeté sous les roues de la charrette, le Matador et Joël étaient grièvement blessés de sa main. Mais, comme il allait achever ce dernier, il vit deux ombres qui se glissaient le long du mur dans la direction du pont. A moi, chevalier! cria-t-il en retournant précipitamment sur ses pas.

Les autres avaient fait leur chemin, reprit Passepoil, car M. de Gonzague n'a oublié que nous dans ses largesses. Pinto avait épousé une madonna de Turin; le Matador tenait une académie en

Aussitôt la Garde aërienne descend avec rapidité, & se partage chacun selon son grade sur les joyeux combattans; Ariel comme le chef, s'établit sur le premier Matador; car les Silphes se souvenant de leur origine, & d'avoir été femmes, sont délicats sur les préséances.

Et ce n'était rien auprès des trois Espagnols, qui se fussent noyés aisément dans le sang de leurs innombrables victimes. Pépé le Tueur (el Matador) ne parlait jamais que d'embrocher trois hommes

Les trois Espagnols avaient nom Saldagne, Pinto et Pépé, dit el Matador, tous trois escrimidores, l'un de Murcie, l'autre de Séville, le troisième de Pampelune. L'Italien était un bravo de Spolète; il s'appelait Giuseppe Faënza. L'Allemand se nommait Staupitz; le bas Breton, Joël de Jugan. C'était M. de Peyrolles qui avait assemblé toutes ces lames: il s'y connaissait.

Bien des noms y étaient effacés, sans doute les noms de ceux qu'il avait pu joindre. »Par contre, il y avait deux noms nouveaux qui remplissaient les blancs. »Le capitaine Lorrain était effacé, le 1. Le 2, Staupitz, avait une large barre. Pinto aussi, el Matador aussi; Joël de Jugan de même. »Les cinq barres étaient

La manière de tuer de Montès est remarquable par la précision, la sûreté et l'aisance de ses coups; avec lui, toute idée de danger s'évanouit; il a tant de sang-froid, il est si maître de lui-même, il paraît si certain de sa réussite, que le combat ne semble plus qu'un jeu; peut-être même l'émotion y perd-elle. Il est impossible de craindre pour sa vie; il frappera le taureau il voudra, quand il voudra, comme il voudra. Les chances du duel sont par trop inégales; un matador moins habile produit quelquefois un effet plus saisissant par les risques et les chances qu'il court. Ceci paraîtra sans doute d'une barbarie bien raffinée, mais les aficionados, tous ceux qui ont vu des courses et qui se sont passionnés pour un taureau franc et brave, nous comprendront assurément. Un fait qui se passa le dernier jour des courses prouvera la vérité de notre assertion, et fit voir un peu durement

Vous avez donc des doutes, monseigneur? répéta Peyrolles au comble de l'inquiétude. Gonzague lui passa le papier déroulé, et Peyrolles lut avidement. Le papier contenait une liste ainsi conçue: «Le capitaine Lorrain, Naples; »Staupitz, Nuremberg; »Pinto, Turin; »El Matador, Glascow; »Joël de Jugan, Morlaix; »Faënza, Paris; »Saldagne, id.; »Peyrolles, ...;

Le sire qui descendait dans l'arène roi, prince ou simple gentilhomme tenait l'emploi du grand premier rôle: le matador. En même temps, il était aussi le picador, puisque, comme ce dernier il était monté, bardé de fer et armé de la lance. Aucun règlement ne venait l'entraver et, pourvu qu'il sauvât sa peau, tous les moyens lui étaient bons.