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Mis à jour: 21 juillet 2025
D'abord, elles s'assirent par terre, pour manger des bonbons achetés en passant chez le confiseur en vogue de Stamboul. Et ensuite elles passèrent en revue tous les recoins de la gentille baie, devenue leur domaine clandestin pour l'après-midi. Un étonnant concours de circonstances, et de volontés, et d'audaces, avait réuni l
Quelle horrible banlieue que celle-ci, par contraste avec celle de Stamboul, dont la tristesse est grande et superbe... Ici, c'est le côté où tous ces gens cosmopolites de Péra viennent s'amuser aux jours de fête; dans une campagne sans arbres, sans verdure, absolument nue, s'étalent d'abord d'odieuses guinguettes de barrière, arméniennes, grecques, juives, qui rappellent les mauvais alentours parisiens: ensuite commencent des champs labourés, dans lesquels notre voiture s'engage, région toute grise, couleur de terre, sans une herbe verte; et enfin, sur une hauteur solitaire, paraît un carré de murs, gris aussi, au-dessus desquels ne s'élève ni un cyprès, ni un feuillage quelconque: c'est le cimetière de Chichli.
Puisse Allah accorder longue vie au sultan Abd-ul-Hamid, qui fait revivre les grandes fêtes religieuses, les grandes solennités de l'islam; Stamboul illuminé chaque soir, le Bosphore éclairé aux feux de Bengale, les dernières lueurs de l'Orient qui s'en va, une féerie
Autour d'eux tout était plus triste que la semaine passée, car le froid était revenu en plein mois de mai; on entendait le vent de la Mer Noire siffler aux portes comme en hiver; tout Stamboul frissonnait sous un ciel plein de nuages obscurs; et dans l'humble petit harem grillé, on aurait dit le crépuscule.
Stamboul avait un aspect inaccoutumé; les hodjas dans tous les minarets chantaient des prières inconnues sur des airs étranges; ces voix aiguës, parties de si haut,
Tout cependant est silencieux dans Constantinople ... À onze heures, des cavaliers et de l'artillerie sont passés au galop, courant vers Stamboul; et puis le roulement sourd des batteries s'est perdu dans le lointain, tout est retombé dans le silence.
Ils fument une cigarette, réunis autour du brasero de cuivre, et se disent adieu. Le réveil est maussade On s'imagine avoir été visité par quelque rêve des Mille et Une Nuits, quand on se retrouve le matin, pataugeant dans la boue de Stamboul, dans l'activité des rues et des bazars.
Oh! l'étrange Stamboul, l'oppressante ville spectrale que j'ai vue dans mes nuits! Quelquefois elle restait lointaine, montrant seulement
Les nuits seulement, pendant les lucidités du rêve, je retrouvais, sous une forme continuellement la même, mes regrets inatténués; toujours ces imaginaires retours dans un Stamboul aux dômes trop hauts et trop sombres profilés sur un grand ciel mort; toujours ces courses anxieuses, arrêtées malgré moi par des inerties insurmontables et n'aboutissant pas; et, pour finir, toujours ce réveil,
Pendant ces quinze jours, mon ami et moi nous courûmes les ruines, les bazars, les mosquées, de Stamboul
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