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Le traité fut enfin signé. En voici les bases: madame de Staël écrirait

Nous sommes de cet avis, et si, au lieu d'améliorent on lit pervertissent ou égarent, la proposition n'en sera pas moins vraie. Il s'agit donc de savoir ce qu'inspire le roman de Delphine, ou bien, car cela revient au même, ce qui a inspiré Delphine. Madame de Staël ne serait-elle pas la première

J'ai entendu raconter par Mme de Staël: «Je me trouvais placée

«Rien n'était plus attachant que les entretiens de madame de Staël et de madame Récamier. La rapidité de l'une

Il y avait enfin le salon de la belle madame de Sainte-Aulaire, amie de madame la duchesse de Broglie et qui ne faisait qu'un avec le salon de son amie; mais celui-ci était plus large et plus véritablement littéraire que le salon trop anglais de la fille de madame de Staël; la littérature y tenait une bien plus grande place. La maîtresse de la maison, quoique très-jeune et très-gracieuse, ne permettait pas

Ensuite, ce qui est encore plus important pour nous, cette page témoigne que Mme de Staël connaissait bien l'ouvrage de la comtesse de Rosenberg. En effet, ce qu'elle dit de la poésie dalmate, par la bouche de Corinne, est l'expression de réflexions faites après la lecture des Morlaques.

Auguste, fils de madame de Staël, avait perdu son frère, tué en duel d'un coup de sabre ; il se maria et eut un fils: ce fils, âgé de quelques mois, l'a suivi dans la tombe. Avec Auguste de Staël s'est éteinte la postérité masculine d'une femme illustre, car elle ne revit pas dans le nom honorable, mais inconnu, de Rocca.

Ces commencements, dont parlait Mme de Staël, étaient depuis longtemps épuisés entre l'artiste polonais et le poète français. Ils ne s'étaient même survécus chez l'un que par un violent effort de respect pour l'idéal qu'il avait doré de son éclat foudroyant, chez l'autre, par une fausse honte qui sophistiquait sur la prétention de conserver la constance sans la fidélité. Le moment vint cette existence factice, qui ne réussissait plus

C'est auprès du lit de douleur de Mme de Staël, et bien peu de mois avant la mort de cette femme illustre, que M. de Chateaubriand rencontra Mme Récamier; mais ce ne fut qu'en 1818, au retour des eaux d'Aix-La-Chapelle, Mme Récamier avait retrouvé le prince Auguste de Prusse, que M. de Chateaubriand commença

Depuis la saisie et la mise au pilon des dix mille exemplaires de son ouvrage sur l'Allemagne, Mme de Staël était