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Coppet; madame de Staël. J'ai passé une semaine

Mme de Staël, qui était allée

Il ne pouvait faire autrement. Même avec le grand désir d'entente dont il était animé, il ne lui était pas possible de souscrire aux vœux de la famille de Staël. L'essentiel des leçons de Vinet sur l'auteur de Corinne eût été sacrifié. Vinet avait parfaitement vu ce que tout le monde voit aujourd'hui, et en partie grâce

Telle est la part du blâme dans le jugement que porte Madame de Staël sur la nation allemande; les reproches sont sérieux et durent être sentis; mais, après tout, c'est une question de savoir si quelques Allemands n'eurent pas plus de peine

Mais quand tous les malheurs qui fondent sur les deux héros seraient la conséquence directe des erreurs opposées dont ils ont fait l'inspiration de leur conduite, l'enseignement qui ressortirait de cette conclusion est d'avance annulé par l'impression générale du roman. Madame de Staël a publié des Réflexions sur le but moral de Delphine,

Des pensées analogues se représentent souvent dans cet ouvrage, et l'on ne peut douter que la perfectibilité, dans la pensée de Madame de Staël, n'embrassât simultanément tous les genres de progrès. Il ne lui suffit pas de prévoir cette solidarité, elle croit l'avoir constatée: «La puissance d'aimer, nous dit-elle, semble s'être accrue avec les autres progrès de l'esprit humain

Madame de Staël avait une chose bien cruelle pour une femme; c'est qu'elle n'était pas belle. Elle avait les traits gros, et le nez surtout. Elle avait la taille assez forte, la peau d'une qualité médiocrement attirante. Ses gestes étaient plutôt énergiques que gracieux; debout, les mains derrière le dos, devant une cheminée, elle dominait un salon, d'une attitude virile, d'une parole puissante, qui contrastait fort avec le ton de son sexe, et parfois aurait fait douter un peu qu'elle fût une femme. Avec tout cela, elle n'avait que vingt-cinq ans, elle avait de très-beaux bras, un beau cou

Madame de Staël, dans la force de la vie, aimait madame Récamier; madame de Genlis, dans sa décrépitude, retrouvait pour elle les accents de sa jeunesse; l'auteur de Mademoiselle de Clermont plaçait la scène de son roman

Ce premier grand tableau, sur lequel Léopold Robert fondait en idée sa fortune d'artiste et l'espérance de sa renommée, lui était commandé par un de ses opulents compatriotes de Neuchâtel. C'était la Corinne de madame de Staël, improvisant au cap Mycènes.

Madame de Staël, qui ne refuse pas du génie