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Mis à jour: 8 juin 2025


L'intelligence, telle que vous l'avez définie, est évidemment l'intelligence spéculative, l'aptitude

Pour me séparer du monderépondit le peintre. Et le consul lui tendit cette main de fer qui ne se fermait que sur une épée. Il s'y connaissait. Les penseurs ou primitifs ne s'étaient pas donné de nom. Ils n'avaient pas, comme toutes les théories d'aujourd'hui, une raison de commerce comptable et spéculative.

L'histoire nous montre ainsi depuis le milieu du IVe siècle, dans les vallées moyenne et basse du Danube, une succession non interrompue de peuples hunniques perpétuant la tradition d'Attila. Cette permanence des Huns dans les contrées orientales et au cœur même de l'Europe n'est-elle qu'une question purement archéologique et spéculative? La guerre qui vient de s'achever répondra pour moi. Les vallées du Volga et du Don, les versants de l'Oural, les steppes de la mer Caspienne et de la mer Noire, contiennent encore les races qui vinrent au IVe siècle avec Balamir, au Ve avec Attila, au VIe avec les Avars, au IXe avec les Hongrois, occuper le centre de l'Europe et menacer surtout la Grèce. Il y a aujourd'hui quinze siècles que le cri,

Chez Burns, cette souffrance ne pouvait pas prendre une forme purement intellectuelle, s'accumuler en profonde tristesse méditative comme chez Wordsworth, ou s'exhaler en emportement lyrique comme chez Coleridge. Les gens cultivés se font de leur esprit un sanctuaire reculé dont les joies et les colères sont plus loin de la vie, ils se retirent parfois pour goûter leurs fiertés ou cacher leurs dégoûts. Burns n'avait pas ce refuge. La vie réelle était trop près de son esprit, il ne pouvait s'en éloigner et ses idées passaient aussitôt dans ses actes. Ce conflit ne produisit pas en lui, comme dans Wordsworth, un ébranlement moral, douloureux sans doute, mais qui restait restreint dans la vue spéculative des choses. Il causa en lui une irritabilité de chaque jour. Il avait pris en haine les officiers au point qu'il ne pouvait en supporter la présence. Il écrivait

Quoique ce soit assurément un procédé très peu philosophique que d'entreprendre de juger une doctrine quelconque d'après la seule considération, quelque réelle qu'elle puisse être, des résultats auxquels doit conduire son application, au lieu de l'apprécier directement en elle-même; néanmoins, quand une fois cet examen fondamental, dont rien ne saurait dispenser, a été convenablement effectué, il est évidemment très légitime, et ordinairement fort utile, afin d'en mieux faire ressortir les conclusions principales, de signaler les conséquences générales de la doctrine proposée, pourvu qu'on en ait d'abord soigneusement écarté tout ce qui ne présenterait réellement qu'un caractère fortuit. Or, une telle épreuve indirecte serait, sans doute, bien désavantageuse aux diverses théories psychologiques ou idéologiques, dont la profonde inanité spéculative se transformerait malheureusement, dans la pratique, en la plus déplorable efficacité, d'après leur universelle prétention

Il convient de faire ici une remarque qui doit être méditée par les observateurs trop pressés. Lorsqu'un savant annonce au public une découverte purement spéculative, il ne saurait agir avec assez de prudence. Personne n'est forcé de découvrir ni une planète, ni une comète, ni un satellite, et qui se trompe en pareil cas, s'expose justement aux quolibets de la foule. Donc, mieux vaut attendre, et c'est ce qu'aurait faire l'impatient J.-T. Maston, avant de lancer

Dans cette belle série de recherches, l'impulsion primitive est essentiellement résultée de la double influence nécessaire, d'un phénomène fondamental découvert par Richter, et d'une indispensable discussion spéculative établie par Berthollet. Arrêtons un moment notre attention sur ce double point de départ.

«Au moment la commission va se réunir de nouveau, permettez-moi, comme vous avez eu la bonté de m'y encourager, de vous rappeler ma statuette, vue, je puis le dire, avec quelque intérêt par la plupart des membres de cette commission, et le désir que j'aurais (dégagé de toute idée spéculative) d'être chargé du monument

Note 22: Tout le monde connaît Descartes comme métaphysicien, comme physicien et comme géomètre; mais peu de gens savent qu'il fut encore un très grand anatomiste. Comme le but général de ses travaux étoit l'utilité des hommes, au lieu de cette philosophie vaine et spéculative qui jusqu'alors avait régné dans les écoles, il vouloit une philosophie pratique, chaque connoissance se réalisât par un effet, et qui se rapportât tout entière au bonheur du genre humain. Les deux branches de cette philosophie devoient être la médecine et la mécanique. Par l'une, il vouloit affermir la santé de l'homme, diminuer ses maux, étendre son existence, et peut-être affoiblir l'impression de la vieillesse; par l'autre, faciliter ses travaux, multiplier ses forces, et le mettre en état d'embellir son séjour. Descartes étoit surtout épouvanté du passage rapide et presque instantané de l'homme sur la terre. Il crut qu'il ne seroit peut-être pas impossible d'en prolonger l'existence. Si c'est un songe, c'est du moins un beau songe, et il est doux de s'en occuper. Il y a même un coin de grandeur dans cette idée; et les moyens que Descartes proposa pour l'exécution de ce projet n'étaient pas moins grands: c'étoit de saisir et d'embrasser tous les rapports qu'il y a entre tous les éléments, l'eau, l'air, le feu, et l'homme; entre toutes les productions de la terre, et l'homme; entre toutes les influences du soleil et des astres, et l'homme; entre l'homme enfin, et tous les points de l'univers les plus rapprochés de lui: idée vaste, qui accuse la foiblesse de l'esprit humain, et ne paroît toucher

Mais il y a autre chose dans Rousseau que cette théorie spéculative. On y trouve un projet de culte national, dont l'idée ne s'accorde guère avec le conseil de rester chacun dans sa religion. Déj

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