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Mis à jour: 28 mai 2025
Ce fut vers midi, un jour calme et brûlant, que pour la première fois de ma vie j'aperçus ma petite amie Rarahu. Les jeunes femmes tahitiennes, habituées du ruisseau de Fataoua, accablées de sommeil et de chaleur, étaient couchées tout au bord, sur l'herbe, les pieds trempant dans l'eau claire et fraîche. L'ombre de l'épaisse verdure descendait sur nous, verticale et immobile; de larges papillons d'un noir de velours, marqués de grands yeux couleur scabieuse, volaient lentement, ou se posaient sur nous, comme si leurs ailes soyeuses eussent été trop lourdes pour les enlever; l'air était chargé de senteurs énervantes et inconnues; tout doucement je m'abandonnais
Elle était, au milieu de ce paysage enchanteur, une ravissante apparition, avec son blanc chapeau de paille que débordaient de partout les boucles soyeuses de ses cheveux blonds, son châle écarlate croisé sur la poitrine et noué derrière la taille, sa robe gris-perle flottant au gré de la brise matinale.
Comme elle relevait son front d'entre ses mains, Elle vit Jésus-Christ avec les traits humains Et les habits qu'il a dans les tableaux d'église. Sévère, il regardait tristement la marquise, La vision flottait blanche dans un jour bleu Dont les ondes, voilant l'apparence du lieu, Semblaient envelopper d'une atmosphère élue Osine qui semblait d'extase irrésolue Et qui balbutiait des exclamations. Des accords assoupis de harpe de Sions Célestes descendaient et montaient par la chambre, Et des parfums d'encens, de cinnamome et d'ambre. Fluaient, et le parquet retentissait des pas Mystérieux de pieds que l'on ne voyait pas, Tandis qu'autour c'était, en décadences soyeuses, Un grand frémissement d'ailes mystérieuses La marquise restait
Or, tel que ceux qui, le front nimbé, allongeaient le bras, sur les soyeuses gravures, vers le lit de souffrance, Charles III avait eu nettement, en créant d'un rigide trait de plume la fameuse artère, son geste guérisseur, qu'il fallait évoquer pour obéir
A la brise légère voltigeaient les graines soyeuses, lorsque la faux luisante prenait son élan
[p.55] Les visages, les contenances, 825 Les costumes et les semblances De tous ces gens qui karolaient; Je vous dirai ce qu'ils étaient. Déduit était de sa nature Droit et beau, de haute stature, L'air noble et de grand appareil Et gracieux, le teint vermeil Autour et blanc comme une pomme; Jamais on ne vit plus bel homme: Mignonne bouche, de beaux yeux, Le nez fait au moule, cheveux Blonds tombant en boucles soyeuses Sur ses épaules musculeuses. Sa taille fine cependant
C'était une belle et forte femme que Guyonne. Impossible d'imaginer plus magnifique assemblage de formes masculines unies aux grâces féminines. Sa tête, admirable d'expression, surmontait un buste richement proportionné, quoique d'apparence athlétique. Son épaisse chevelure noire flottait sur ses épaules en boucles soyeuses encadrant un visage d'un ovale parfait. Le front découvert, large, les sourcils bien accusés, le nez quelque peu busqué et surtout la vivacité des yeux de Guyonne, dénotaient chez elle un caractère opiniâtre et exalté. Cependant, malgré sa haute taille et son organisation virile, ses mains étaient mignonnes, bien que bistrées par de rudes travaux, ses pieds comparativement, petits. Si son coup d'oeil d'aigle imposait aux plus téméraires, l'aménité de ses manières, la douceur touchante de sa voix séduisaient ceux qu'elle traitait en amis. Fière avec les dédaigneux, soumise sans bassesse avec ses supérieurs, affable avec ses égaux, Guyonne déployait envers ses proches une abnégation
La richesse des contours et des formes n'excluait pas chez Mlle d'Orsy la délicatesse aristocratique. D'abord, l'animation de son teint qui annonçait un sang riche et vivace, ne faisait que mieux ressortir la blancheur de sa peau. Ensuite, une blonde et abondante chevelure encadrait son visage et ruisselait en boucles soyeuses sur ses épaules; tandis que ses yeux, d'un bleu de ciel profond, pétillaient d'enjouement et d'intelligente candeur, et qu'un sourire,
Cet échantillon des gallinacées, qui faisait la joie du capitaine Hod, était magnifique, avec ses ailes vert foncé aux reflets métalliques, que bordait un liseré d'or. Sa queue, bien fournie et finement ocellée, formait un superbe éventail de barbes soyeuses. «En route! en route! dit le capitaine.
Je voudrais me faire tout petit, tout petit, et me glisser dans la grande malle de cette dame en chapeau rose, dont le coupé se dirige vers la gare de Lyon. On doit être très-bien, dans la malle de cette dame. Je devine des jupes soyeuses, des linges fins, toutes sortes de choses douces, parfumées, tièdes.
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