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Mis à jour: 21 juin 2025


Rarahu, qui s'était fait initier aux mystères de l'écarté, aimait passionnément, comme toutes les Tahitiennes, ce jeu importé d'Europe; et les deux jeunes femmes, assises l'une devant l'autre sur une natte, passaient des heures, attentives et sérieuses, absolument captivées par les trente-deux petites figures peintes qui glissaient entre leurs doigts.

Mais, quand nous fûmes seuls dans la campagne, loin du bruit de la fête, au milieu des bois et de l'obscurité, autour de moi je trouvai tout absurde et maussade, le calme de la nuit, le ciel brillant d'étoiles inconnues, le parfum des plantes tahitiennes, tout, jusqu'

Les marchands chinois de Papeete sont pour les Tahitiennes un objet de dégoût et d'horreur... Il n'est point de plus grande honte pour une jeune femme que d'être convaincue d'avoir écouté les propos galants de l'un d'entre eux...

En suivant sous les minces cocotiers les blanches plages tahitiennes, sur quelque pointe solitaire regardant l'immensité bleue, en quelque lieu choisi avec un goût mélancolique par des hommes des générations passées, de loin en loin on rencontre les monticules funèbres, les grands tumulus de corail... Ce sont les maraé, les sépultures des chefs d'autrefois; et l'histoire de ces morts qui dorment l

Cette case, qui avait abrité l'enfance de ma petite amie, était ovale, basse comme toutes les cases tahitiennes, et bâtie sur une estrade en gros galets noirs. Les murailles en étaient faites de branches minces de bourao, placées verticalement et laissant des vides entre elles, comme les barreaux d'une cage.

Il faisait une complète obscurité dans ce bois, et on y sentait une bonne odeur répandue par les plantes tahitiennes. Le sol était jonché de grandes palmes desséchées qui craquaient sous nos pas. On entendait en l'air ce bruit particulier aux bois de cocotiers, le son métallique des feuilles qui se froissent; on entendait derrière les arbres des rires de Toupapahous; et

Les trois Tahitiennes étaient couronnées de fleurs naturelles, et vêtues de tuniques de mousseline rose,

Un autre objet de parure, plus habillé que la simple couronne de fleurs, était la couronne de piia, faite d'une paille fine et blanche comme la paille de riz, et tressée par les mains des Tahitiennes avec une délicatesse et un art infinis. Les reva-reva sont de grosses touffes de rubans transparents et impalpables, d'une nuance d'or vert, que les Tahitiennes retirent du coeur des cocotiers.

Les Tahitiennes battaient des mains, et accompagnaient le tam-tam d'un chant en choeur, rapide et frénétique; chacune d'elles

Chaque soir, c'était comme un vertige. Quand la nuit tombait les Tahitiennes se paraient de fleurs éclatantes; les coups précipités du tambour les appelaient

Mot du Jour

l'égaierait

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