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Mis à jour: 5 mai 2025


MM. Boehmer et Bossange se firent un signe, et s'inclinèrent en protestant de nouveau de tout leur respect. M. de Souza leur faillit marcher sur les pieds et sortit. Les marchands se regardèrent, décidément inquiets et courbés jusqu'

Nathalie est fort embellie et de très bonne humeur, reprit Julie.... Elle a chanté une romance.... Comme tout s'efface vite chez certaines personnes! Qu'est-ce qui s'effacedemanda Pierre, dépité. Julie sourit. «Vous savez fort bien, comte, que les chevaliers comme vous ne se rencontrent que dans les romans de Mme de Souza. Quels chevaliers? je ne comprends pas, dit Pierre en rougissant.

Je profiterai de cette occasion, monsieur le secrétaire, puisque je trouve en vous un homme si aimable, se hâta de dire le chancelier avec effusion, je profiterai, dis-je, de l'occasion, pour vous demander si vous croyez que M. de Souza ne m'en voudra pas d'écorcher ainsi le portugais? Pas du tout, pas du tout, si vous parlez le français purement.

On lui dit un jour: Mais, pour parler ainsi de M. de Villèle et d'Armand Carrel, de M. de Jouy et de Victor Hugo, de madame de Souza et de madame de Girardin, d'Alfred de Musset et de Stendhal, quel âge avez-vous donc? Et elle répondit: J'ai l'âge de ma marraine, l'âge de mon père et quelquefois le mien.

Savez-vous bien ce que c'est qu'un Portugais? dit-il dédaigneusement; savez-vous ce que c'est qu'un ambassadeur, bourgeois que vous êtes? Non. Eh bien! je vais vous le dire. Un ambassadeur favori d'une reine, M. Potemkine, achetait tous les ans, au 1er janvier, pour la reine, un panier de cerises qui coûtait cent mille écus, mille livres la cerise; c'est joli, n'est-ce pas? Eh bien! M. de Souza achètera les mines du Brésil pour trouver dans les filons un diamant gros comme tous les vôtres. Cela lui coûtera vingt années de son revenu, vingt millions; mais que lui importe, il n'a pas d'enfants. Voil

Il ne faut pas que je parle un mot de français, moi qui suis monsieur de Souza; car je le connais, ce seigneur, et s'il parle, ce qui est rare, c'est tout au plus le portugais, sa langue naturelle. Vous, au contraire, monsieur de Beausire, qui avez voyagé, qui avez une grande habitude des transactions parisiennes, qui parlez agréablement le portugais... Mal, dit Beausire.

En effet, monseigneur, monsieur de Souza s'y trouve en ce moment; il est venu incognito. Pour traiter l'affaire, dit le cardinal en riant. Oui, monseigneur. Oh! pauvre Souza! Je le connais beaucoup. Pauvre Souza! Et il redoubla d'hilarité. Monsieur Boehmer crut devoir s'associer

La Restauration eut donc des poètes, et même quelques grands poètes. Les habiles prosateurs ne lui manquèrent pas. Et pour ne parler d'abord que des genres les moins sévères, nous n'oublierons pas que cette même période revendique plusieurs des romans de Madame de Souza, le Lépreux de M. de Maistre, Adolphe de Benjamin Constant, et toutes les charmantes fantaisies de Charles Nodier, cet écrivain artiste, qui a orné de tant de moulures délicates une langue déj

Nous avions bien d'autres sollicitudes. Caulaincourt venait d'avoir, chez Mme de Souza, une entrevue avec le baron de Vincent, ministre d'Autriche, auquel on retardait

C'est cela, dit Beausire en riant ironiquement, écrivez-lui; demandez-lui si M. de Souza est solvable, et si Sa Majesté la reine est bonne pour quatorze cent mille livres. Monsieur... dit Boehmer confus. Acceptez-vous, ou bien préférez-vous d'autres conditions? Celles que Monsieur le secrétaire a bien voulu me poser en premier lieu me paraissent acceptables. Y aurait-il des termes aux paiements?

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etorent

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