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Mis à jour: 12 juin 2025
Aujourd'hui même, d'éminents académiciens croient sérieusement que c'était «d'Illyrie encore» que Nodier rapporta Smarra.
Puis du roman: Jean Sbogar, Smarra, Trilby, le Peintre de Salzbourg, Mademoiselle de Marsan, Adèle, le Vampire, le Songe d'or, les Souvenirs de Jeunesse, le Roi de Bohême et ses sept châteaux, les Fantaisies du docteur Néophobus, et mille choses charmantes encore que vous connaissez, que je connais, et dont le nom ne se retrouve pas sous ma plume.
Pour entrer avec intérêt dans le secret de la composition de Smarra, il faut peut-être avoir éprouvé les illusions du cauchemar dont ce poème est l'histoire fidèle, et c'est payer un peu cher l'insipide plaisir de lire une mauvaise traduction. Toutefois, il y a si peu de personnes qui n'aient jamais été poursuivies dans leur sommeil de quelque rêve fâcheux, ou éblouies des prestiges de quelque rêve enchanteur qui a fini trop tôt, que j'ai pensé que cet ouvrage aurait au moins pour le grand nombre le mérite de rappeler des sensations connues qui, comme le dit l'auteur, n'ont encore été décrites en aucune langue, et dont il est même rare qu'on se rende compte
Mon travail sur Smarra n'est donc qu'un travail verbal, l'oeuvre d'un écolier attentif; il vaut tout au plus un prix de composition au collège, mais il ne valait pas tant de mépris; j'adressai quelques jours après
Je les connaissais en partie, ces Histoires entraînantes, et elles m'avaient hanté plus d'une fois comme la Smarra de Nodier. J'avais même cru sincèrement qu'elles étaient écrites par un Yankee, lorsque Lermina les signait de son pseudonyme de William Cobb. Mais Lermina connaît l'Amérique; il y a vécu, je crois, et il s'est imprégné de l'esprit même, subtil et puissant, de Poë.
À l'ère de l'hypertexte et de la technolittérature, le conte Smarra mérite une lecture attentive. En le lisant, vous vivrez une actualisation
Dans quelle mesure Smarra fut-il un pastiche de l'
Malgré l'affabilité de ce critique, le volume n'eut aucun succès de librairie, et l'éditeur Ponthieu dut vendre l'édition au poids. Smarra ne fut réimprimé qu'une seule fois, en 1832, par Renduel, dans les
Du reste, Smarra agit directement: Victor Hugo s'en souvint dans la Ronde du Sabbat, qu'il dédia, ce serait une preuve suffisante, «
L'on verra que Mérimée n'ignorait pas les nouvelles illyriennes de Charles Nodier: Jean Sbogar et Smarra ; il serait donc intéressant de rechercher si Nodier, lui, connaissait les Morlaques. On pourrait dire alors qu'il existe dans la Guzla une certaine influence provenant indirectement des ballades-pastiches de la comtesse de Rosenberg. Ces recherches seraient d'autant plus utiles que, dès 1862, Paul Lacroix (bibliophile Jacob) remarquait un certain air de parenté entre ces productions , et que tout récemment, M. Curčin en est arrivé
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