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Mis à jour: 13 octobre 2025


Très volontiers, si vous voulez être bons pour lui. Soyez tranquille, nous serons très polis et très aimables. François, voici Maurice et Adolphe de Sibran qui veulent faire connaissance avec toi. François s'approcha de Bernard et tendit la main main aux deux Sibran. «Bonjour, bonjour, mon petit, dirent-ils presque ensemble; vous êtes bien gentil, et je pense que vous savez déj

Mme de Sibran releva son visage inondé de larmes, et, regardant encore Maurice, l'horreur et le chagrin dont elle fut saisie lui firent craindre un évanouissement; au lieu de répondre

Ils se dirigèrent tous vers la pelouse se trouvait Maurice avec son père, toujours morne et accablé, et MM. des Ormes et de Cémiane. Maurice avait retrouvé sa connaissance et la parole; il se plaignait de ses brûlures, de vives douleurs dans les jambes, dans les reins; il ne pouvait faire un mouvement sans gémir. Mme de Sibran s'agenouilla près de lui sans parler; ses larmes tombèrent amères et abondantes sur le visage de son fils noirci par la fumée, et qui exprimait une souffrance aiguë. Elle déposa un baiser sur son front, puis resta immobile et silencieuse. Elle demanda

Un Ah! général les accueillit; les mères s'élancèrent, vers leurs enfants. Petits imbéciles! s'écria Mme de Sibran. Petites sottes! s'écria de même Mme de Guilbert. Hi! hi! hi! nous... nous... sommes perdus..., répondirent les filles. Hi! hi! hi! nous... avons été... poursuivis par... deux gros dogues, reprirent les garçons. Hi! hi! hi! Ils ont manqué nous dévorer! Hi! hi! hi!

Ma femme! ma femme! dit M. de Sibran avec désespoir. M. DE NANC

Mais pour demeurer chez Mme de Sibran pendant huit jours, jusqu'

Un grand cri, cri de détresse et de terreur, interrompit sa phrase inachevée, A une mansarde du château, éclairée par les flammes, apparurent deux têtes livides, épouvantées, criant au secours; c'étaient Maurice et Adolphe, MM. de Sibran, des Ormes et les domestiques étaient en bas; leur cri d'épouvante avait répondu au cri de détresse des enfants.

Le lendemain, de grand matin, M. et Mme de Sibran, inquiets et tremblants, entraient précipitamment chez M. de Nancé. Il leur apprit avec tous les ménagements possibles la triste et douce fin de leur fils. Le désespoir des parents fut effrayant. Ils se reprochaient de n'avoir pas deviné le danger, de l'avoir abandonné le dernier mois de son existence, de l'avoir laissé mourir dans une famille étrangère. Ils demandèrent

Le malheureux Maurice poussa un cri d'horreur et retomba presque inanimé sur son lit. Mme de Sibran se jeta

C'est vrai, mais c'est tout de même ennuyeux d'être ridicule. Gabrielle, est-ce que tu n'aimes pas François? Si fait, mais je ne voudrais pas être comme lui. Et moi, je le trouve si bon, que je l'aime cent fois plus que Maurice et Adolphe de Sibran, qui sont si beaux. Pas moi, par exemple; François est bon, c'est vrai; mais quand il y a du monde, je suis honteuse de lui.

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