Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 1 mai 2025
Soudain, une voix que Pardaillan reconnut aussitôt dit avec un accent grave: Eh bien, Pardaillan, crois-tu pouvoir échapper? Regarde autour de toi. Vois ces centaines d'hommes armés qui te serrent de près. Tout cela, c'est mon oeuvre
Après de sourds roulements, on entend des claquements clairs et précipités, et l'éclair qui déchire le nuage montre, par la fente de la nuée, que, sous cette nuée grise qui nous écrase, le ciel n'est qu'une fournaise ardente, une plaine de feu et de lave. Dans les étables, les troupeaux se serrent les uns contre les autres.
Je vous répète, répondit Dean Pitferge, en s'animant, que l'orage aura éclaté avant quelques heures. Je sens cela, comme un «storm-glass». Voyez ces vapeurs qui se massent dans les hauteurs du ciel. Observez ces cirrus, ces «queues de chat» qui se fondent en une seule nuée, et ces anneaux épais qui serrent l'horizon. Bientôt il y aura condensation rapide des vapeurs, et par conséquent production d'électricité. D'ailleurs, le baromètre est tombé subitement
Deux ou trois habitants sont sur leur porte; ils ont le visage d'un blanc jaunâtre. Est-ce le reflet du ruisseau? Leurs joues creuses nous serrent le coeur; et pourtant nous apercevons l
Mais ces deux hommes se regardent. Un même sentiment les agite, les envahit, et ils partent tous les deux d'un éclat de rire. La glace est rompue. Sans dire un mot, ils rient et se serrent les mains. N'insistez pas, ils danseraient... Un nuage sur ces deux fronts. Une pensée nouvelle et attristante. Serait-ce donc un remords de cette joie inconvenante?
Je l'ai cherchée souvent et trouvée quelquefois, répondit Hector mais je sens plus amèrement que vous ne pourriez l'exprimer le malheur de cette passion qui m'entraîne; je résiste, j'ai honte. J'aimerais mieux ne la voir jamais que d'affronter ces terribles applaudissements que son talent soulève et qui me serrent si douloureusement le coeur. Et cependant..., commença madame de Chaves.
Tous entourent le triomphateur et font de lui une espèce de Laocoon de l'amitié littéraire. Ils le serrent, l'enlacent, l'embrassent, gonflent son orgueil avec le gaz de l'hyperbole, et puis entre la parenthèse de deux caresses, répandent brusquement dans la joie en ébullition la goutte d'eau froide de la réticence, et par leurs critiques essaient de reprendre
«En effet, il doit le croire. J'ai mis le tourne-vis dans les vis qui retiennent le couvercle, je les ai serrées, puis desserrées. Le couvercle se soulève et s'abaisse comme la poitrine d'un homme qui respire... Tantôt par l'entr'ouverture, sa voix me parvient claire et nette... puis les vis se serrent, les ais se rapprochent comme une mâchoire qui se ferme, et je n'entends plus qu'un murmure étouffé; ou bien, le couvercle semble devoir céder sous le moindre effort... il s'arcboute au fond de son cercueil, et appuyé sur les coudes, il pousse avec ses mains la planche qui suit un peu l'impulsion. Mais l'effort est vain... le bois résiste. Ses mains glissent sur la surface polie du chêne... et voil
Hélas, ton corps! ô ma longue et pâle malade, Ton pauvre corps d'orgueil parmi les coussins blancs!... Les maux serrent en toi leur nerveuse torsade Et vers l'éternité tournent tes regards lents.
D'autres, sans doute, électrisés par la clameur grandiose, caressèrent ici de grandes espérances, mûrirent de grands desseins, conçurent de grands héroïsmes, dit Jules. Et moi, je songe aux amoureux qui se serrent tout près l'un de l'autre, pour ne pas laisser crouler leur bonheur avec les eaux qui tombent, murmure Jeanne.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche