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Mis à jour: 16 juin 2025


Il portait lunettes et avait la mine d'un rat de paperasses. Somme toute, un de nos personnages: Me Bouginier, l'ex-avoué de la rue du Pélican. Le second paraissait plus jeune et plus lestement découplé. Sous les bords de son feutre mou, vous auriez reconnu la figure hardie et goguenarde de l'amant de Sergine Gravier. Tous deux tenaient l'affût depuis la brune.

Vous vous êtes mépris sur mes intentions, repartit le soldat d'un ton ferme, mais exempt de fanfaronnade; je n'ai pas plus la prétention de donner des leçons que l'habitude d'en recevoir. Il ajouta en désignant Sergine qui écoutait avec un beau sang-froid: Je vous ferai seulement observer qu'il me paraît au moins inopportun de poursuivre cette conversation devant madame...

Ensuite il s'informa les dents serrées: Pourquoi?... Pourquoi je vous ai expédié ce poulet?... Oui, pourquoi?... Que vous ai-je fait?... Que vous avait fait cette jeune fille?... Sergine l'enveloppa d'un regard étrange, et, lentement, avec un léger haussement d'épaules: Vous n'avez pas compris?... Vous ne comprenez pas?...

Un murmure de surprise courait le long des tribunes, et une sorte de houle faisait osciller les promeneurs, dont le front s'ouvrait comme devant une proue... Et, dans l'espace vide, Sergine Gravier s'avançait au bras de Roger...

Sur ce foyer violent, deux formes celle d'un homme et celle d'une femme se détachaient en noir avec une singulière intensité de relief. Vous auriez juré de deux «ombres chinoises» évoluant sur le fond étincelant de la scène de Séraphin. La femme, c'était Sergine Gravier. L'homme c'était M. de Saint-Pons. Florette ne pouvait se tromper: Roger lui faisait face.

Le regard et le ton du jeune homme devinrent froids et impérieux: Ma chère Sergine, prononça-t-il nettement, voil

Puis, d'un bond, Sergine enlaça Roger. Les deux corps n'en formèrent plus qu'un. Un baiser sembla s'échanger... La Filleule de Lagardère était allée se rasseoir loin de la fatale embrasure. Nul ne saurait décrire les tortures inouïes qui broyaient son cœur, comme jeté sous une meule ou comprimé entre les serres d'un étau.

Comme le repas tirait sur sa fin, un des garçons du restaurant entra: M. Marignan? demanda-t-il. C'est moi, fit l'ex-amant de Sergine. Il y a une personne en bas qui désire parler

De l'argent, par exemple, elle n'en n'avait guère: le beau Sigismond le cocher de madame Ambroisie, l'une des camarades de théâtre de Sergine Gravier lui avait, en effet, coûté les yeux de la tête. Pour combler ce déficit, l'ingénieuse fille s'était mise

Le premier de ces convives n'était autre que le cavalier servant de Sergine Gravier, le beau Marignan en personne, lequel, du fond du fiacre qui l'avait amené, pour se glisser

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l'égaierait

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