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Ce prince mourut en 1719 de la dyssenterie. La soeur du Margrave de Schwed se maria aussi cette année avec le prince héréditaire de Wurtemberg. Les caprices de cette princesse sont cause, que le duché de Wurtemberg est tombé entre les mains des catholiques.

La lecture de cette lettre fut un coup de foudre pour la reine et pour moi. J'avois dans ce temps aussi peu d'inclination pour mon mariage avec le prince de Galles que ci-devant, mais le Margrave de Schwed, le duc de Weissenfeld, les coups et les injures m'étoient trop récents pour ne pas souhaiter d'en être

«Des que Borck et Grumkow se seront rendus chez vous, vous irez tous trois chez ma femme. Vous lui direz de ma part, que je n'ignore aucune de ses intrigues, qu'elles me déplaisent et que j'en suis las, que je ne prétends plus être le jouet de sa famille, qui m'a traité indignement, qu'une fois pour toutes je veux marier ma fille Wilhelmine. Mais que pour dernière grâce je lui permets d'écrire encore une fois en Angleterre et de demander au roi une déclaration formelle sur le mariage de ma fille. Dites-lui, qu'en cas que la réponse qu'elle recevra, ne soit pas selon mes désirs, je prétends absolument l'unir avec le duc de Weissenfeld ou avec le Margrave de Schwed; que je lui laisserai le choix de ces deux partis, qu'elle doit m'engager sa parole d'honneur, de ne plus s'opposer

La seconde épouse, princesse de Holstein-Glucksbourg, veuve du duc Charles Louis de Lunebourg, lui donna cinq princes et trois princesses, savoir Charles qui mourut empoisonné en Italie, par les ordres du roi son frère, le prince Casimir, empoisonné de même par une princesse de Holstein, qu'il avoit refusé d'épouser, les princes Philippe Albert et Louis. Le premier de ces trois princes épousa une princesse d'Anhalt, soeur de celui dont j'ai fait le portrait. Il eut d'elle deux fils et une fille. Le Margrave Philippe étant mort, son fils aîné, le Margrave de Schwed devint premier prince du sang et héritier présomptif de la couronne, en cas d'extinction de la ligne royale. Dans ce dernier cas tous les pays et les biens allodiaux me tomboient en partage. Le roi n'ayant qu'un fils, le prince d'Anhalt, appuyé de Grumkow, lui fit concevoir que sa politique exigeoit de lui qu'il me fît épouser son cousin, le Margrave de Schwed. Ils lui représentèrent que la santé délicate de mon frère ne permettoit pas qu'on fît grand fonds sur ses jours, que la reine commençoit

Dans les nouveaux règnes nous trouvons le Palais de marbre, madame Rietz avec son fils, Alexandre, comte de La Marche, la Baronne de Stoltzenberg, maîtresse du margrave Schwed, autrefois comédienne, le prince Henri et ses amis suspects, mademoiselle Voss, rivale de madame Rietz, une intrigue de bal masqué entre un jeune Français et la femme d'un général prussien, enfin madame de F..., dont on peut lire l'aventure dans l'Histoire secrète de la cour de Berlin : qui sait tous ces noms? qui se rappellera les nôtres? Aujourd'hui, dans la capitale de la Prusse, c'est

Le roi, lui dirent-ils, ne veut plus absolument entendre parler d'alliance avec l'Angleterre. Toutes réponses qui en pourront venir, lui sont entièrement indifférentes, et ne changeront rien au projet qu'il a fait, de marier la princesse, sa fille, avec le duc de Weissenfeld ou avec le Margrave de Schwed. Il prétend absolument qu'on lui obéisse, et fera même tomber son ressentiment sur votre Majesté, s'il trouve de la résistance

Quoique la Letti me dise toujours, lui repartis-je, que j'épouserai le Marg. de Schwed, je ne puis le souffrir. Il n'aime qu'

Il fut même conclu que le Margrave de Schwed auroit dorénavant les entrées chez moi, et qu'on tâcheroit par toutes sortes de moyens de nous donner de l'inclination l'un pour l'autre. La Letti gagnée par la clique d'Anhalt, ne cessoit de me parler du Margrave de Schwed, et de le louer, ajoutant toujours qu'il deviendroit un grand roi et que je serois bien heureuse, si je pouvois l'épouser.