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Mis à jour: 24 juillet 2025
Lorsqu'il fut près de la capitale des Indes, il vit venir au- devant de lui le sultan Schahriar avec toute sa cour. Quelle joie pour ces princes de se revoir! Ils mirent tous deux pied
Schahriar et la princesse son épouse passèrent cette nuit de la même manière que les précédentes, et avant que le jour parût, Dinarzade les réveilla par ces paroles, qu'elle adressa
«Je ne puis assez admirer, ma soeur, dit alors Dinarzade, les aventures que vous venez de raconter: J'en sais une infinité d'autres, répondit la sultane, qui sont encore plus belles.» Schahriar, voulant savoir si le conte du troisième vieillard, serait aussi agréable que celui du second, différa jusqu'au lendemain la mort de Scheherazade.
Sur la fin de la cinquième nuit, Dinarzade appela la sultane et lui dit: «Ma chère soeur, si vous ne dormez pas, je vous supplie, en attendant le jour qui paraîtra bientôt, de reprendre la suite de ce beau conte que vous commençâtes hier.» Scheherazade, après en avoir obtenu la permission de Schahriar, poursuivit de cette manière: Sire, le premier vieillard qui conduisait la biche, continuant de raconter son histoire au génie, aux deux autres vieillards et au marchand: «Je pris donc, leur dit-il, le couteau, et j'allais l'enfoncer dans la gorge de mon fils; lorsque tournant vers moi languissamment ses yeux baignés de pleurs, il m'attendrit
La sultane Scheherazade, remarquant qu'il était jour, s'arrêta en cet endroit. Schahriar se leva en riant de toute sa force de la colère de la dame favorite, et fort curieux d'apprendre le dénouement de cette histoire.
Dinarzade, qui ne souhaitait pas moins ardemment que Schahriar d'apprendre quelles merveilles pouvaient être renfermées sous la clef de la centième porte, appela la sultane de très-bonne heure. Si vous ne dormez pas, ma soeur, lui dit-elle, je vous prie d'achever la surprenante histoire du troisième calender. Il la continua de cette sorte, dit Scheherazade: «J'étais, dit-il, au quarantième jour depuis le départ des charmantes princesses. Si j'avais pu ce jour-l
En cet endroit, Scheherazade, remarquant qu'il était jour, en avertit Schahriar, et se tut: «En vérité, ma soeur, dit alors Dinarzade, je ne sais où vous allez prendre tant de belles choses. Vous en entendrez bien d'autres demain, répondit Scheherazade, si le sultan, mon maître, a la bonté de me prolonger encore la vie.» Schahriar, qui ne désirait pas moins ardemment que Dinarzade d'entendre la suite de l'histoire du médecin Douban, n'eut garde de faire mourir la sultane ce jour-l
La sultane Scheherazade fut obligée d'interrompre son récit en cet endroit, parce qu'elle remarqua qu'il était jour. Schahriar se leva, et le lendemain, ayant témoigné qu'il souhaitait d'apprendre la suite de l'histoire du bossu, Scheherazade satisfit ainsi sa curiosité:
Schahriar prévint la sultane, et lui demanda ce que le jeune homme avait raconté au calife Haroun Alraschid. Sire, répondit Scheherazade, il prit la parole et parla dans ces termes: HISTOIRE DE LA DAME MASSACR
Après avoir écouté Zobéide avec admiration, le calife fit prier par son grand vizir l'agréable Amine, de vouloir bien lui expliquer pourquoi elle était marquée de cicatrices...... Mais, sire, dit Scheherazade en cet endroit, il est jour, et je ne dois pas arrêter davantage votre majesté. Schahriar, persuadé que l'histoire que Scheherazade avait
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