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Mis à jour: 10 juin 2025


Tu m'appartiens! cria le jeune homme en brandissant son arme, et j'ai fait voeu de laver ma hache rougie dans le sang de tes victimes. Ce fut le signal de la mêlée. Les sans-culottes, comprenant que c'était un combat mortel que celui qui allait se livrer, s'élancèrent les premiers. Les misérables ignoraient

Et c'est lui qui a accompli ce que tu viens de me dire? C'est lui qui a tué seul près de vingt sans-culottes? Lui, aidé de deux autres. Quel est son nom? Marcof le Malouin. Marcof le Malouin? Marcof qui a attaqué le convoi des prisonniers venant de Saint-Nazaire? Lui-même. Et les deux hommes qui accompagnaient? J'ignore qui ils sont. Que devons-nous faire pour nous emparer de ces brigands?

Je vous répète que mes yeux ont contemplé leurs cadavres; les brigands causaient tranquillement assis auprès d'eux. A cette nouvelle assurance, la colère et la rage des sans-culottes ne connurent plus de bornes. A mort les chouans! s'écria-t-on. A la Loire les aristocrates! Vengeons nos frères! Mort aux aristocrates!

Les Sans-Culottes, par exemple, n'ont jamais eu d'autre idéal qu'une nouvelle mode; leurs plus abominables excès témoignaient simplement d'un goût maladif pour le pantalon.

La police était faite par les comités et les commissaires des sections; elle avait pour agents les gendarmes nationaux, qui formaient un corps de dix mille hommes et qui étaient appuyés, pour les arrestations politiques, par les compagnies de sans-culottes armés de piques et en bonnets rouges. Les malfaiteurs étaient rigoureusement poursuivis, les vols et les meurtres très-rares, la prostitution <p.179> sévèrement réprimée ; mais chaque citoyen était continuellement exposé, sur la dénonciation de quelque orateur des sections ou de quelque voisin haineux,

Marcof et Boishardy levèrent leurs bras armés, et deux d'entre eux tombèrent sans pousser un cri, tant le coup qui les frappa les atteignit rapidement. La lutte devenait presque égale. Alors, ce qui se passa dans cette salle d'auberge fut quelque chose d'horrible et d'indescriptible. Les sans-culottes se battaient avec la rage du désespoir.

Il est vrai qu'il abhorrait les émigrés en général et les princes en particulier. Le 27 juin, Louis XVIII étant encore au camp de Condé, il écrit: «Personne, assurément, ne fait moins de cas de la personne de ces deux princes que moi. Je reconnais plus que tout autre combien ils sont peu estimables. Mais est-il de notre intérêt que la royauté soit rétablie en France? Nul ne peut le contester. Peut-il nous convenir que les sans-culottes de Paris choisissent d'autres pour les mettre sur le trône et donnent cet exemple philosophique aux autres nations? Non sans douteIl n'épargnait pas davantage les amis du roi de France. À propos des rapports que Mallet du Pan adressait

Justice contre d'intrépides sans-culottes! fit Valleroy. Détrompez-vous, Madame, vous ne l'obtiendrez pas. Paris est donc une caverne de brigands?

La politesse est une vertu d'aristocrate, et nous sommes des sans-culottes, nous, repartirent les enrôlés. Allons donc, dit Lorin, ne parlez pas de ces choses-l

Les paysans ne se tutoyaient plus en affectant les paroles brutales des sans-culottes. Les compagnons ouvriers ne lançaient plus ces plaisanteries, échos des clubs parisiens, qui vouaient

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