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Mis à jour: 3 juin 2025


[Note 46: Saint-Priest répondait de Stockholm le 17 février: «Sire, j'ai reçu la lettre dont Votre Majesté m'a honoré de sa main, le 27 du mois dernier. Elle doit bien être persuadée que la seule impossibilité physique pourrait m'arrêter lorsque ses ordres daignent m'appeler auprès d'elle. Je partirai dès qu'il y aura moyen de passer le bras de mer qui sépare la Suède de la Finlande, et j'espère que ce sera sous peu de jours. J'apprendrai

Le 8 novembre, deux lettres adressées, l'une par le comte de Saint-Priest

Avec son ministre le comte de Saint-Priest, et son ami le comte d'Avaray, il consacra plusieurs jours

[Note 71: «On ne saurait être plus étonné que nous l'avons été de la froideur du général Pichegru envers M. de Fleury, et nous nous épuisons en vaines conjectures sur les motifs qu'il a pu avoir dans cette conduite si différente de tout ce que nous avions lieu d'attendre de lui d'après ce qu'on nous avait mandé de Londres. Peut-être la jeunesse de M. le duc l'aura mis en réserve. Nous espérons qu'après avoir eu la preuve de la confiance que le roi lui accorde, le général aura été plus ouvert avec lui. Il serait incroyable qu'il nous laissât ignorer la marche et les vues de l'Angleterre sur lui.» (Saint-Priest

Plusieurs jours s'écoulèrent. Le 15 août, Saint-Priest n'avait pas encore obtenu son audience. Il lui revenait que l'Empereur était indécis sur la forme qu'il convenait d'y donner. Dans la soirée de ce jour, il assistait

À ce moment, mon beau-père et M. de Saint-Priest ouvrirent l'avis que le roi se retirât

Mon beau-père, désespéré ainsi que M. de Saint-Priest, s'écriait: «Nous allons nous laisser prendre ici et peut-être massacrer sans nous défendrePendant ce temps, le rappel battait pour rassembler la garde nationale. Elle se réunissait sur la place d'Armes et se mettait en bataille le dos

Mme de Saint-Priest était Grecque par sa mère. Fille du ministre de Prusse

Saint-Priest conseillait donc

Le stathouder était un homme entièrement nul. Mais sa femme, nièce du grand Frédéric et sœur du roi de Prusse qui lui avait succédé, était une princesse ambitieuse. Elle voulait mettre une couronne sur la tête de son mari et sur la sienne. L'aristocratie de la Gueldre et des provinces d'Over-Yssel et d'Utrecht voyait avec peine les richesses des négociants de la Hollande. La princesse d'Orange provoquait ou, tout au moins, soutenait ces mécontentements. Elle était assurée de l'appui de l'Angleterre et de la Prusse, et ne craignait guère l'intervention de la France, malgré l'opinion très prononcée de notre ambassadeur, le comte de Saint-Priest, qui ne cessait de demander

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