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Mis à jour: 28 juin 2025


Ces réformes étaient devenues bien nécessaires, car depuis longtemps les abbés et les moines avaient étrangement faussé la règle de Saint-Benoît. Pendant les invasions des Normands particulièrement, la discipline s'était perdue au milieu du désordre général, les abbayes étaient devenues des forteresses plus remplies d'hommes d'armes que de religieux; les abbés eux-mêmes commandaient des troupes laïques, et les moines chassés de leurs monastères étaient obligés souvent de changer le froc contre la cotte de buffle . Toutefois, si après les réformes de Cluny et de Cîteaux les abbés ne se mêlèrent plus dans les querelles armées des seigneurs laïques, ils ne cessèrent de s'occuper d'intérêts temporels, d'être appelés par les souverains non-seulement pour réformer des monastères, mais aussi comme conseillers, comme ministres, comme ambassadeurs. Dès avant les grandes associations clunisiennes et cisterciennes, on avait senti le besoin de réunir en faisceau certaines abbayes importantes. Vers 842, l'abbé de Saint Germain des Prés,

L'église Saint-Benoît, ou, plus exactement, de la Saincte-Benoîte-Trinité. Sa fondation remontait au VIIe siècle, quoiqu'on lût sur un de ses vitraux: «DANS CETTE CHAPELLE, SAINT DENIS A COMMENC

«La belle Juliette au cercueil étendueSubiaco. Le couvent de Saint-Benoît. Une sérénade. Civitella. Mon fusil. Mon ami Crispino. Subiaco est un petit bourg de quatre mille habitants, bizarrement bâti autour d'une montagne en pain de sucre. L'Anio, qui, plus bas, va former les cascades de Tivoli, en fait toute la richesse en alimentant quelques usines assez mal entretenues.

Quand Paris etait encore tout petit, il avait deja nombre d'histoires a faire fremir, depuis la coupable association formee entre le barbier et le patissier de la rue des Marmousets, pour le debit des vol-au-vent de gentilshommes, jusqu'a la boucherie galante de la maison du cul-de-sac Saint-Benoit, dont les murs demolis avaient plus d'ossements humains que de pierres.

Au moyen âge, dit-il, les moines de l'ordre de Saint-Benoît vinrent y fonder le prieuré de Bonheur; un peu avant le XVIIe siècle, les croupes de l'Aigoual furent explorées par les botanistes qui lui donnèrent le nom de Hort-Dieu (Hortus Dei, jardin de Dieu), et en 1676, Magnol achevait de les faire connaître au monde savant. Linné y puisa de précieux documents. Dans la guerre des Camisards contre les dragons de Louis XIV, le chef des Camisards, Roland, se faisait appeler le roi de l'Aigoual, et s'y maintenait comme dans une forteresse. Après la paix, Cassini y établissait la triangulation, et de Gensanne y faisait des recherches minéralogiques. Plus tard, les météorologistes comme Mouret, le contre-amiral d'Assas et Cabirou, se servaient de ces régions pour leurs observations; enfin, tandis que Dumas reconnaissait la constitution des versants schisteux, le commandant d'état-major Levret y stationnait pour le rattacher

Tiens... tiens, mais c'est juste, c'est après-demain la Saint-Benoît, dit M. Sécherin. Comment, ma femme, tu me gâtes comme ça? Et tu prends ce cher Chopinelle pour complice? Ah! ah! monsieur le sous-préfet, vous voulez me liguer avec ma femme! ajouta-t-il en riant aux éclats. Ah! vous complotez tous deux pour me faire des surprises!

Saint-Benoît (rue): Se nomma ainsi parce qu'elle s'étendait le long du jardin des religieux de Saint-Germain des Prés qui suivaient la règle de saint Benoît. «Il n'y a pas plus de vingt ans, dit Sauval, qu'elle s'appelait la rue des

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