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Mis à jour: 11 juin 2025


Les Crimes de l'Amour, ou le délire des Passions, nouvelles historiques et tragiques, précédées d'une idée sur les romans, par D. A. F. Sade. Paris, Massé, an VIII, 2 volumes in-8º ou 4 volumes in-12, 4 frontispices non signés. Un bel exemplaire papier vélin, figures avant la lettre, fait partie du cabinet d'un bibliophile parisien. Un exemplaire relié a été adjugé

Cependant, dans cette circonstance, il fut, peut-être, alarmé de la criminalité de ses désirs; car l'abbé de Sade, lui-même, qui certainement n'aurait pas été si scrupuleux, ni si délicat, s'il avait pu prouver sa descendance de Pétrarque et de Laure, est forcé

De nombreuses erreurs ont été émises au sujet de Sade. L'article que lui a consacré la Biographie universelle (il est de M. Michaud jeune) est loin d'en être exempt; celui qui renferme la Biographie générale (tome XLII) signé J. M.-R.-I., laisse aussi

Nous avons vu une édition des photographies fort mal faites remplacent les lithographies. Nous ne connaissons que de titre la Théorie du libertinage que Restif de la Bretonne, dans son étrange auto-biographie, intitulée Monsieur Nicolas, mentionne comme un ouvrage de Sade; il n'est pas probable qu'elle ait été imprimée.

La Nouvelle Justine, ou les Malheurs de la Vertu suivie de Juliette, sa soeur, ou les Prospérités du Vice, ouvrage orné d'un frontispice et de cent sujets gravés avec soin. Hollande (Paris, Bertrandet?), 1797, 10 vol. in-18 dont 4 de Justine et 6 de Juliette. Troisième rédaction, dans laquelle le marquis de Sade a poussé les atrocités au dernier période. L'auteur, dit-on, imprima lui-même son ouvrage dans un souterrain. On dit que Saint-Just, de la Convention, le lisait pour s'exciter

Malgré les demandes du docteur Royer-Collard, Sade demeura

Un article de M. Jules Janin, inséré d'abord dans la Revue de Paris, est reproduit dans les Catacombes (6 vol. in-18) de cet écrivain spirituel et aimé du public. Ce morceau est écrit avec la verve, avec le brillant éclat de style qui caractérise toutes les productions du célèbre feuilletonniste des Débats; il ne faut pas lui demander une exactitude bien rigoureuse. Nous reproduirons quelques passages de cette notice: «Voulez-vous que je vous fasse l'analyse du livre de Sade? Ce ne sont que cadavres sanglants, enfants arrachés aux bras de leurs mères, jeunes femmes qu'on égorge

Dimanche 14 septembre. Parcouru hier les MALHEURS DE JUSTINE, de De Sade. L'originalité de l'abominable livre, elle n'est pas pour moi dans l'ordure, la cochonnerie féroce, je la trouve dans la punition céleste de la vertu, c'est-

De Sade était cynique au point de vouloir sérieusement idéaliser sa cruelle sensualité et se faire l'apôtre d'une doctrine fondée sur ce sentiment pervers. Ses menées étaient devenues si scandaleuses (entre autres il invita chez lui une société de dames et de messieurs qu'il mit en rut en leur faisant servir des bonbons de chocolat mélangés de cantharide) qu'on dut l'enfermer dans la maison de santé de Charenton. Pendant la Révolution , il fut remis en liberté. Il écrivit alors des romans ruisselants de volupté et de cruauté. Lorsque Bonaparte devint consul, le marquis de Sade lui fit cadeau de la collection de ses romans, reliés avec luxe. Le consul fit détruire les oeuvres du marquis et interner de nouveau l'auteur

«Ce n'est pas tout encore. On a eu l'imprudence de former un théâtre dans cette maison, sous prétexte de faire jouer la comédie par les aliénés, et sans réfléchir aux funestes effets qu'un appareil aussi tumultueux devait nécessairement produire sur leur imagination. M. de Sade est le directeur de ce théâtre. C'est lui qui indique les pièces, distribue les rôles et préside aux répétitions. Il est le maître de déclamation des acteurs et des actrices et il les forme au grand art de la scène. Le jour des représentations publiques, il a toujours un certain nombre de billets d'entrée

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