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Mis à jour: 7 juillet 2025
" Je suis plus heureuse de mon sacrifice, me disait-elle, que si j'étais sa femme". Oui, mon imbécile, mais en attendant, il n'avait pas du tout l'idée d'épouser sa soeur: il s'est tiré une balle de pistolet; on a vu le sang dans le bois; mais on n'a jamais retrouvé son corps. Et qu'avez-vous fait de cette malheureuse fille?
C'était un grand sacrifice demandé
Idoménée, charmé du discours de Mentor, l'eût écouté longtemps, si on ne fût venu l'avertir pour un sacrifice qu'il devait faire
Le grand, le difficile, c'est que l'idée utile, au moment décisif, rencontre préparé un foyer de bonne volonté morale, de chaleur héroïque, de dévouement, de sacrifice.. Où en retrouverai-je l'étincelle primitive, dans le refroidissement universel? Voil
Mes amis, mes chers amis, fit le vieux savant d'une voix suppliante, aurez-vous le courage de vous en retourner sans avoir vu Neptune et Hypérion... Gontran, mon ami, mon fils, faites-moi encore ce sacrifice;... et vous, cher sir Jonathan, voulez-vous qu'il soit dit,
Miss Wirt et ces deux charitables jeunes filles s'extasiaient si hautement et si souvent en présence de George Osborne sur l'énormité du sacrifice qu'il faisait et sur sa générosité chevaleresque
Ah! Julien, je savais trop bien apprécier ton sacrifice!... Aujourd'hui tout est fini, tu es de retour, mes voeux sont exaucés! Le bonheur est l
Il vous trompait donc avant cela, ma mère! demanda mademoiselle Guite avec une petite pointe de curiosité. Il y eut de l'étonnement dans le regard de la duchesse. Tu es mariée, c'est vrai, murmura-t-elle, mais tu es bien jeune pour parler ainsi. Qu'il te suffise de savoir que j'ai fait pour toi un sacrifice auquel je me serais refusée, quand il se fût agi de mon existence même!
Elle se leva frissonnante: «Il fait froid, rentrons.» Son sacrifice était fait. Elle en mourrait, sans doute, mais le monde ne verrait pas cet abaissement de la duchesse Padovani en Madame Paul Astier, épousant son architecte.
C'est ce qui te trompe, mon cher: elle l'a refusé, bel et bien. Si «charmant» qu'il te semble, il ne lui plaisait pas, sans doute. J'ai laissé ta soeur entièrement libre, tu comprends. C'était il y a deux ans, un peu avant Noël. Ton phénix finissait son internat. J'étais très souffrant, je me souviens, le jour où j'ai reçu sa lettre. Et puis, naturellement, elle m'avait bouleversé: on a beau élever ses enfants pour eux, non pour soi, on a beau se préparer au sacrifice, se répéter que sa fille est grande et qu'elle pourra vous être enlevée d'un moment
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