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Mis à jour: 4 juillet 2025


En tout cas, c'est d'un gaillard intelligent; n'est-ce pas, Foma? Hem! grommela Foma, dont un sourire sardonique n'avait pas quitté les lèvres pendant tout le temps de la récitation. Je ne me souviens plus, répondit Nastenka en regardant timidement Foma Fomitch. Elle est de M. Kouzma Proutkov, petit père; nous l'avons vue dans le Contemporain, dit Sachenka.

Et mon oncle se redressait, ne pouvant tenir en place, tant il était impatient et joyeux. Non, petit père, ce n'est pas de Lomonossov, dit Sachenka, contenant

Le triomphe de Foma fut aussi complet que définitif car, sans lui, rien ne se fût arrangé et le fait accompli primait toutes les réserves, toutes les objections. Mon oncle et Nastenka lui vouèrent une gratitude illimitée et j'avais beau vouloir leur expliquer les motifs réels de son consentement, ils ne voulaient rien entendre. Sachenka clamait: «Oh! le bon, le bon Foma Fomitch! Je vais lui broder un coussinet je crois bien que le nouveau converti, Stépane Alexiévitch, m'eût étranglé

La générale fit un cri, et s'affaissa dans son fauteuil. Un tumulte effrayant s'ensuivit. L'infortunée Nastenka restait immobile sur son siège, comme morte. Sachenka, effrayée et qu'on eut dite en proie

Il contourna la table et s'approcha de Sachenka en lui disant: Alexandra Yégorovna, notre pomme parfumée, permettez-moi de baiser votre robe. Vous embaumez la pomme, Mademoiselle, et d'autres parfums délicats. Mon respect

Mon oncle était tout confus et ne sachant quelle contenance prendre, il appela Sachenka pour me la présenter, mais elle se contenta de se lever et de me faire une grave révérence. Ce geste me charma parce qu'il lui seyait. Ma bonne tante n'y tint plus et, cessant pour un instant de verser le thé, elle accourut m'embrasser. Mais nous n'avions pas échangé deux mots que s'éleva la voix de la demoiselle Pérépélitzina remarquant que «Prascovia Ilinitchna avait oublier sa mère (la générale) qui avait demandé du thé, mais l'attendait encore». Ma tante me quitta aussitôt et s'empressa d'aller vaquer

Ah! mon Dieu, mais je vous interromps tout le temps, Anfissa Pétrovna! dit-il pour s'excuser, sans comprendre ce qu'entendait Sachenka. Pardonnez-moi, au nom du Christ!

Seuls tous deux, mon oncle et sa femme ne s'en sont attachés que davantage. Dieu ne leur a pas envoyé d'enfants; mais, bien qu'ils en souffrent, ils n'osent se plaindre. Sachenka est depuis longtemps la femme d'un homme charmant, et Ilucha fait ses études

C'est demain l'anniversaire d'Ilucha. La vérité avant tout, mon cher... Ce n'est pas du tout son anniversaire! s'écria Sachenka. Comment? Ce n'est pas son anniversaire? s'exclama mon oncle absolument ahuri.

De temps en temps, et surtout en présence des visiteurs, elle appelait son petit-fils Ilucha ou sa petite-fille Sachenka et, les faisant asseoir auprès d'elle, elle couvrait d'un regard long et triste ces malheureux petits êtres

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