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»En conséquence, tout militaire ou tout individu qui y troublera l'ordre et qui s'éloignera de la décence, qui doit être la première loi des lieux publics, soit par une approbation ou une désapprobation immodérée envers les acteurs, et finalement interrompra la représentation de quelque manière que ce soit, sera immédiatement arrêté et conduit par la garde du buon governo,

Car, tant que le sang le plus précieux de la vie sera chaud, Pas une de mes pensées ne s'éloignera d'elle, Et elle, comme elle a la plus belle forme, Possède le coeur le plus fidèle et le plus aimant. Oh! savez-vous qui est dans cette ville, Sur laquelle vous voyez le soleil couchant? La plus belle dame est dans cette ville Sur laquelle brille le soleil couchant .

«Je me rends caution de sa fuite, répliqua Sancho. Moi de même, ajouta le chanoine, et de tout ce qui en peut résulter, surtout s'il m'engage sa parole de chevalier qu'il ne s'éloignera point de nous sans notre permission.

Quand je réfléchis pourtant que ce métal, si précieux pour nous, était nul aux yeux de ce peuple sage, je crus pouvoir apaiser mes regrets et ne plus m'occuper que des sentimens de reconnaissance que m'inspirait un bienfaiteur dont le souvenir ne s'éloignera jamais de ma pensée. Notre voyage fut heureux, et nous revîmes Le Cap en assez peu de temps.

Non, assurément, l'empereur ne rétrogradera jamais, et ne s'éloignera pas des principes qu'il a adoptés. Sa politique est ouverte et franche. La maison de Bourbon occupait le royaume de Naples et le duché de Parme, et tout le monde sait que Venise était sous l'influence française:

«Par mon saint patron, s'écria Cedric avec plus de chaleur que n'en exigeait le caractère dont il était revêtu; par tous les saints qui ont vécu et qui sont morts en Angleterre, je vous obéirai! Pas un Saxon ne s'éloignera de ces murailles, si j'ai assez d'adresse et assez d'influence sur eux pour les retenir.» «Vraiment, dit Front-de-Boeuf, tu changes de ton, sire moine, et tu parles avec autant de hardiesse et d'énergie que si ton coeur était disposé

C'est que la peinture est égoïste. La poésie décrit un tableau: elle n'aura jamais l'idée d'y rien changer, d'en altérer les lignes, d'en transformer les personnages. La peinture traduit la poésie: elle ne s'inquiète ni des traits arrêtés, ni des costumes traditionnels, ni des contours tracés par la plume. Plus le peintre sera grand et individuel, plus la traduction s'éloignera de l'original.

Pourrons-nous partir demain? Je l'ignore; et l'on se demande, devant un tel bouleversement, si jamais cette grande colère de la nature va s'apaiser, si les flots rentreront dans leur lit; assurément les arbres vont se redresser, les feuillages secouer les perles brillantes dont ils sont surchargés, les oiseaux s'aventurer dans l'espace pour sécher leurs ailes alourdies par la pluie? Sans doute demain, après une nuit terrible, l'ouragan fatigué s'éloignera. Du sein des eaux, des bois et des plaines sortiront des voix frémissantes, laissant échapper un immense soupir de soulagement. Encore quelques heures et tout rentrera dans l'ordre. La terre reprendra ses sourires, la mer ses limites, le soleil ses rayons, et l'on ne s'apercevra plus de cette terrible secousse qu'

On étouffait d'angoisse atroce, et l'on respire. Il semble que l'on ait désormais vu le pire, Qu'on est sorti vivant du cercle de l'enfer, Que c'est fini! Le jour remonte, calme et clair; On entend les rumeurs des routes, des villages, Le chant des coqs, le doux roulis des engrenages: Halettement de fer que font dans le lointain Les usines, fumant sur le léger matin... Une haleine de fleurs épaissit les prairies; On voit, sur le torrent, écumer la scierie. Les calmes oliviers, immobiles, songeant, Reçoivent tout l'azur dans leurs tamis d'argent; Et les abeilles, par leurs danses chaleureuses, Font un voile doré aux collines pierreuses; Et l'on est sauf! Mais quand reviendront les effrois, Quand ce sera vraiment pour la dernière fois; Quand ce sera le terme exact de toute chose, Le mal sans guérison, la mort de ceux qu'on ose A peine regarder, tant ils sont beaux et chers; Quand l'esprit ne pourra plus réjouir la chair; Quand on sera usé, délaissé, terne, comme Un jardin d'hôpital flânent de vieux hommes; Quand, ni les prés gonflés qui montent aux genoux, Ni l'orgueil ni l'amour ne seront faits pour nous; Quand tout ce qui voyage, agit, hêle, circule, S'éloignera de l'ombre notre front recule, Et qu'on sera déj

Mais le Bruxellois le retint et dit: Ne crains rien, Donat. On n'agit jamais autrement ici avec les mulets. Il mangera et dormira très-paisiblement pendant la nuit. Demain matin, nous le retrouverons. La clochette nous dira il est. Il ne s'éloignera pas; il est habitué