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Mis à jour: 18 mai 2025
À deux ou trois lieues d'Argenton, la campagne change de caractère; des lambeaux de terre inculte que les habitants appellent des brandes, quelques champs recouverts d'une végétation chétive, des routes pierreuses encaissées dans des ravines et bordées de haies sauvages; ç
Le gai temps de juin souriait partout autour d'elle. Sur les hauteurs pierreuses, il n'y avait toujours que les ajoncs ras aux fleurs jaune d'or; mais dès qu'on passait dans les bas-fonds abrités contre le vent de la mer, on trouvait tout de suite la belle verdure neuve, les haies d'aubépine fleurie, l'herbe haute et sentant bon. Elle ne voyait guère tout cela, elle, si vieille, sur qui s'étaient accumulées les saisons fugitives, courtes
Et je me la représentais si bien, cette campagne romaine d'il y a deux mille ans: chaude, un peu aride, avec des broussailles de phyllireas et de chênes verts, comme ces régions pierreuses de la Limoise, auxquelles précisément je trouvais un charme pastoral, un charme d'autrefois.
On montait en voiture. C'était, ce jour, un triste et âpre jour d'automne. Sous un ciel gris, plein d'envolées noires, un fleuve pâle se traînait dans une plaine de craie, barrée au ras de terre, par un mur de nuages solides fermant l'horizon avec les concrétions et le bouillonnement figé de masses pierreuses. Un paysage dont la platitude morne, l'étendue blafarde, la lumière écliptique ressuscitaient comme un morceau de la sombre Gaule, évoquaient sous nos yeux le décor de Champs Catalauniques, ainsi que se les représente,
Dans les interstices des rochers s'épanouissent des plantes grasses et des touffes de perce-pierres. De grandes rides pierreuses sillonnent la peluche râpée qu'est l'herbe. Partout, des entailles, des brèches et des grottes semblent bâiller ou s'écarquiller en un grand éclat de rire.
Mais cette poussière les avait enfarinés, du même qu'elle avait blanchi les toits des maisons, les chaperons des murs, les appuis, les corniches des fenêtres, et partout, dans les champs brûlés, dans les villages desséchés, le long des collines avides et pierreuses, on ne voyait qu'une teinte blanche qui, réfléchissant les rayons flamboyants du soleil, éblouissait les yeux.
Ici, le pays change entièrement d'aspect, au point qu'on croirait s'être trompé de route et rebrousser chemin vers le nord. Les montagnes pierreuses et de la plus vilaine forme, composées de cailloux plutôt que de rochers, sont couronnées de pins. La vallée, pareillement couverte de pins et d'assez beaux chênes, a surtout le grand tort de n'être point
On étouffait d'angoisse atroce, et l'on respire. Il semble que l'on ait désormais vu le pire, Qu'on est sorti vivant du cercle de l'enfer, Que c'est fini! Le jour remonte, calme et clair; On entend les rumeurs des routes, des villages, Le chant des coqs, le doux roulis des engrenages: Halettement de fer que font dans le lointain Les usines, fumant sur le léger matin... Une haleine de fleurs épaissit les prairies; On voit, sur le torrent, écumer la scierie. Les calmes oliviers, immobiles, songeant, Reçoivent tout l'azur dans leurs tamis d'argent; Et les abeilles, par leurs danses chaleureuses, Font un voile doré aux collines pierreuses; Et l'on est sauf! Mais quand reviendront les effrois, Quand ce sera vraiment pour la dernière fois; Quand ce sera le terme exact de toute chose, Le mal sans guérison, la mort de ceux qu'on ose A peine regarder, tant ils sont beaux et chers; Quand l'esprit ne pourra plus réjouir la chair; Quand on sera usé, délaissé, terne, comme Un jardin d'hôpital où flânent de vieux hommes; Quand, ni les prés gonflés qui montent aux genoux, Ni l'orgueil ni l'amour ne seront faits pour nous; Quand tout ce qui voyage, agit, hêle, circule, S'éloignera de l'ombre où notre front recule, Et qu'on sera déj
Nous contournions lentement la baie, dont tous les aspects passaient successivement sous nos yeux. La côte présentait tantôt des plages couvertes d'un sable nacré que les coquillages émaillaient comme des fleurs, tantôt des dunes pierreuses aux flancs sculptés par la mer. Ici c'étaient de hautes pyramides rougeâtres et pailletées de mica qui se dressaient aux bords du promontoire, l
Il y a de belles forests, peuplees de gros Chesnes, Fouteaux, Herables, Cedres, Sapins, Ifs & autres sortes de bois beaucoup plus beaux, sans comparaison, qu'aux autres Provinces de Canada que nous ayons veuës: aussi le pays est-il plus chaud & plus beau, & plus grasses & meilleures sont les terres, que plus on advance tirant au Su: car du costé du Nord les terres y sont plus pierreuses & sablonneuses, ainsi que je vis allant sur la mer douce, pour la pesche du grand poisson.
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