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Mis à jour: 25 juin 2025


La tendre femme du meunier En sa maison de farine Attend-elle votre arrivée? Courez vite: le mari S'en va sur son âne gris Le nez au vent et l'heureuse mine; Bonjour Olivier. Le geai s'envole dans le bois; Qu'a-t-il de jaune dans son bec? Un simple brin de bâton sec, Ou quoi? Et toi, mari, et toi, Qu'as-tu de jaune

Le nuage s'envolé, portant ailleurs la grêle et la dévastation; un pâle rayon jaune se glissa obliquement dans la salle

Cette cabane en bois, placée et amarrée sur le pont, est surmontée d'un capuchon en tôle par lequel s'échappe la fumée qui s'exhale des fourneaux; mais il faut, pour que cette fumée s'envole avec le vent qui enfle les voiles, que le tuyau du capuchon soit toujours tourné, ou pour mieux dire orienté selon la direction de la brise que l'on reçoit. Ainsi, chaque fois que l'on vire de bord, le cuisinier doit faire évoluer aussi sur sa base le tuyau mobile dont la manoeuvre lui est confiée. Pour peu que le pauvre diable ait indisposé les gens de l'équipage, dans le début de la traversée, c'est

À genoux, mes amis, et prions Dieu pour cette âme qui s'envole dans l'éternité! (Ils s'agenouillent.) Que la miséricorde céleste s'étende sur celui que la grâce a touché

Tant qu'il a un souffle, il court. Puis, au moment il croit saisir la fée, la fée s'envole en riant. Et il tombe

Ce monosyllabe avait l'accent d'une plainte plus déchirante que mille menaces: la plainte qu'arrachent un monde d'illusions détruites, un rêve de bonheur qui s'envole, l'édifice d'un avenir laborieusement échafaudé et qu'un souffle renverse.

L'homme a l'amour pour aile, et pour joug le besoin. L'ombre est sur ce qu'il voit par lui-même semée; La nuit sort de son oeil ainsi qu'une fumée; Homme, tu ne sais rien; tu marches, pâlissant! Parfois le voile obscur qui te couvre, ô passant! S'envole et flotte au vent soufflant d'une autre sphère, Gonfle un moment ses plis jusque dans la lumière, Puis retombe sur toi, spectre, et redevient noir. Tes sages, tes penseurs ont essayé de voir; Qu'ont-ils vu? qu'ont-ils fait? qu'ont-ils dit, ces fils d'Ève? Rien. Homme! autour de toi la création rêve. Mille êtres inconnus t'entourent dans ton mur. Tu vas, tu viens, tu dors sous leur regard obscur, Et tu ne les sens pas vivre autour de ta vie: Toute une légion d'âmes t'est asservie; Pendant qu'elle te plaint, tu la foules aux pieds. Tous tes pas vers le jour sont par l'ombre épiés. Ce que tu nommes chose, objet, nature morte, Sait, pense, écoute, entend. Le verrou de ta porte Voit arriver ta faute et voudrait se fermer. Ta vitre connaît l'aube, et dit: Voir! croire! aimer! Les rideaux de ton lit frissonnent de tes songes. Dans les mauvais desseins quand, rêveur, tu te plonges, La cendre dit au fond de l'âtre sépulcral: Regarde-moi; je suis ce qui reste du mal. Hélas! l'homme imprudent trahit, torture, opprime. La bête en son enfer voit les deux bouts du crime; Un loup pourrait donner des conseils

Ils vont rompre l'acier du noeud qui les torture, Mais Elle, au bruit d'anneaux qu'éveille la rupture, Entr'ouvre ses longs yeux nage un deuil puissant, Elle a fait de ses bras leur tombe ardente et molle: En silence attiré, le couple y redescend, Et l'éphémère essaim des repentirs s'envole...

Aussitôt l'abeille s'envole, et voil

4 août. Depuis ma promenade, ma pensée s'envole malgré moi vers la Malbaie. J'ai des envies folles d'y aller, et pourquoi? Pour revoir un endroit j'ai failli me tuer. C'est au bord d'un chemin rocailleux, sur le penchant d'une côte; il y a beaucoup de cornouilliers le long de la clôture, et par-ci par-l

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