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Mis à jour: 18 mai 2025
J'allai ensuite me percher sur une branche où s'alignaient une demi-douzaine d'oiseaux de différentes espèces. Je pris modestement la dernière place,
Dans celle affectée aux piétons, des espaliers de curieux s'alignaient le long des barrières, avec ce furieux désir de voir, de rire et de blaguer qui est le propre de toute agglomération parisienne. Patte-de-Fer marchait dans ce mouvement et dans ce bruit, le front penché en avant, ne regardant rien, n'entendant rien, l'air fasciné et recueilli.
Des rangs d'arbres scrofuleux, aux ramures en carcasse de feu d'artifice, s'alignaient entre des files de maisons graduellement plus décortiquées de leur enduit, et dont les rez-de-chaussée, dévolus
Le lendemain de l'entrevue de Boris et de Rostow, les troupes autrichiennes et russes, au nombre de 80 000 hommes, y compris celles qui arrivaient de Russie et celles qui avaient fait la campagne, furent passées en revue par l'empereur Alexandre, accompagné du césarévitch, et l'empereur François, suivi d'un archiduc. Dès l'aube du jour, les troupes, dans leur tenue de parade, s'alignaient sur la plaine devant la forteresse. Une masse mouvante, aux drapeaux flottants, s'arrêtait au commandement des officiers, se divisait et se formait en détachements, se laissant dépasser par un autre flot bariolé d'uniformes différents. Plus loin, c'était la cavalerie, habillée de bleu, de vert, de rouge, avec ses musiciens aux uniformes brodés, qui s'avançait au pas cadencé des chevaux noirs, gris et alezans; puis venait l'artillerie, qui, au bruit d'airain de ses canons reluisants et tressautant sur leurs affûts, se déroulait comme un serpent, entre la cavalerie, et l'infanterie, pour se rendre
Par la porte grillée, on voyait sur l'autel une vierge de marbre blanc, des chandeliers d'or et des vases aux fleurs nouvelles; quatre prie-Dieu de velours s'alignaient, entre les deux fenêtres ogivales, dont le sombre et artistique vitrail flambait,
À deux kilomètres de Mulhouse, vers le Rhin, au milieu de la plaine fertile, le camp était dressé. Sous le jour finissant de cette soirée d'août, au ciel trouble, traversé de lourds nuages, les tentes-abris s'alignaient, les faisceaux luisaient, s'espaçaient régulièrement sur le front de bandière; tandis que, fusils chargés, les sentinelles les gardaient, immobiles, les yeux perdus, l
Sur cette planche élevée, toute une série d'énormes dossiers s'alignaient en bon ordre, classés méthodiquement. C'étaient des documents divers, feuilles manuscrites, pièces sur papier timbré, articles de journaux découpés, réunis dans des chemises de fort papier bleu, qui chacune portait un nom écrit en gros caractères. On sentait ces documents tenus
Autour du cénotaphe, flanqué de ses quatre rangées de cierges, cinquante moines s'alignaient, impassibles, montrant leurs rigides visages dans cette ombre étrange que fait la profonde cagoule. L'autel seul rayonnait sur le fond mat des draperies noires.
Un long frémissement secouait la foule, pendant qu'une nouvelle volée de la cloche annonçait l'arrivée des chevaux dans la piste. Alors, Nana, pour bien voir, monta debout sur une banquette de son landau, foulant aux pieds les bouquets, les myosotis et les roses. D'un regard circulaire, elle embrassait l'horizon immense. A cette heure dernière de fièvre, c'était d'abord la piste vide, fermée de ses barrières grises, où s'alignaient des sergents de ville, de deux en deux poteaux; et la bande d'herbe, boueuse devant elle, s'en allait reverdie, tournait au loin en un tapis de velours tendre. Puis, au centre, en baissant les yeux, elle voyait la pelouse, toute grouillante d'une foule haussée sur les pieds, accrochée aux voitures, soulevée et heurtée dans un coup de passion, avec les chevaux qui hennissaient, les toiles des tentes qui claquaient, les cavaliers qui lançaient leurs bêtes, parmi les piétons courant s'accouder aux barrières; tandis que, de l'autre côté, quand elle se tournait vers les tribunes, les figures se rapetissaient, les masses profondes de têtes n'étaient plus qu'un bariolage emplissant les allées, les gradins, les terrasses, où un entassement de profils noirs se détachait dans le ciel. Et, au-del
Du pont de l'Isonzo jusqu'aux murs d'Aquilée s'étendait une campagne ouverte, toute plantée d'arbres et de vignes, dont les longues files s'alignaient en berceaux.
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