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Quelles cohues d'hommes en guenilles il poussa, noble berger, dans les ornières des routes! Les fleuves éclairaient les vallons. La forêt humide secoua des gouttelettes sur les croupes des alezans. Les morts enflaient drôlement entre les vignes.

La duchesse descendit alors dans la cour, se jeta au fond d'un coupé bleu, attelé de deux alezans rapides, en disant au valet de pied: Place Vendôme, au ministère de la justice.

Allègre, il escalada les trois marches du marchepied, que le chasseur releva pour fermer la portière de la voiture haut suspendue; les deux alezans caracolèrent de court, entre les traits et le timon, puis s'éloignèrent dans le lacis des calèches, des landaus et des fiacres. L'abbé de Praxi-Blassans disait: Plaise

Ils entraînèrent, tous trois, les alezans. «À vous, la Flandre! Avancez Corbehem, FlahautIls étaient gras de bière; avec des mines écarlates, de grands nez. «Allons, boyaux-rouges, réveillez-vousIls tentèrent de rire

Monte donc! dit le duc, qui, arrêté un moment au haut du perron, considérait l'élégant attelage de la voiture du vicomte. Ce sont vos chevaux alezans... Saint-Remy? Oui...

Les hommes s'assemblèrent en pelotons qui se rejoignirent, s'agrégèrent par escadrons, et la ligne se fixa, brune aux chevaux, rouge aux poitrines, lumineuse aux casques, frémissante, bavarde. Au trot de la forte jument pie, l'ancien écuyer mesura les escadrons. Des alezans s'ébrouaient. Des hommes se pansaient. Les serre-files faisaient l'appel. Le régiment haleta.

Il me fit observer en même temps que, parmi les Houyhnhnms, on remarquait que les blancs et les alezans bruns n'étaient pas si bien faits que les bais châtains, les gris-pommelés et les noirs; que ceux-l

Quoi qu'il en soit de cette digression, le troupeau près duquel était arrivé Oli-Tahara réunissait des chevaux de tout poil: gris, noirs, pommelés, roux, bais, alezans, aubères, rouans, isabelles, mirouettes, balzans; mais,

Les habitants de Djigansk sont Tongouses et au nombre de quatre ou cinq cents hommes . Ils vivent de chasse et parcourent une mer de neige de plus de deux cents myriamètres de circuit. Ils recueillent les précieuses cornes d'animaux dont on fait des peignes (les dents de mammouth), et tuent des rennes, des alezans moreaux, des zibelines, des renards

Pitouët, imbu de son importance, nommait les carrefours et les fontaines, désignait les villages dans les directions que prenaient les groupes de dragons au trot, sous les voûtes de verdure roussie. Pommelés, alezans, noirs, gris, jaunes, les chevaux s'en allaient par quatre, huit ou dix, portant leurs cavaliers blancs et verts, attentifs. Les bois s'animaient de toute une chasse prudente.